ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE

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THEME  : la prise en compte des consommateurs (sondages, transparence, discours, gestion de crise…).

 

Pages d’archives connexes

L’acceptation du risque des consommateurs

La gestion des alertes alimentaires

La transparence en Europe

Les états généraux de l'alimentation

Débats et liens au sujet du principe de précaution

L'avis des consommateurs (études, sondages…) par rapport aux OGM

La gestion des crises alimentaires (définition du niveau de responsabilité, conseils…)

L’affaire de la dioxine en Belgique

l'évaluation des systèmes de veille sanitaire de l'alimentation et les suggestions permettant de les améliorer tout en évitant les psychoses

La communication de crise autour de l’ESB

L'acceptation de l'ionisation par les consommateurs

La communication vers le public concernant les conseils en matière d'hygiène alimentaire et nutrition

Les sondages en matière d’alimentation

L'opinion des consommateurs et les réactions des médias et des organisations professionnelles au sujet de la sécurité sanitaire des aliments

Gestion de crise par rapport au risque Listéria

La prise en compte des consommateurs au Royaume-Uni

Les actions de groupe - CLASS ACTIONS

 

 

Date: Wed, 24 Mar 1999 22:09:21 +0100 

Par rapport au ton très polémique utilisé par l'Humanité je me pose une question. Pourquoi soulever seulement aujourd'hui des événements passés en 1988 (vétérinaires) et 1992 (listeria) ? J'ai retrouvé le communiqué du 14/09/92 de ce journal au sujet de l'épidémie de Listeria. Cet article se résumait en quelques mots vraisemblablement tirés d'une dépêche AFP. Cependant, ce drame a été plus largement traité par d'autres supports de presse. La même attention avait été porté à l'époque sur une épidémie survenue suite à la consommation de rillettes dont l'origine avait dans ce cas été clairement mis à la connaissance du public.

Plus généralement, je trouve que les médias n'ont pas suffisamment de recul pour traiter les informations en rapport avec les toxi-infections alimentaire. En effet, certains jours une suspicion de toxi-infection sans gravité font la une des journaux télévisés de 20H et d'autres jours des dépêches qui mériteraient un plus grand intérêt ne sont pas prises en compte. Cependant, la médiatisation de petites toxi-infections ont au moins le mérite de sensibiliser le grand public, mais peuvent également avoir des conséquences injustifiées et disproportionnées sur les professionnels.

Je suis pour ma part optimiste par rapport à l'optimisation de la transparence concernant ces problèmes, notamment grâce au développement de l'Internet. Cette perspective permettra aux médias et aux consommateurs d'être plus avisés face aux problèmes réels et limitera les effets de psychose qui ont justement leur origine dans une mauvaise information due à l'extrapolation des médias.

Pour ce faire, il serait intéressant d'avoir un bilan des toxi-infections plus détaillé (germes et aliments incriminés) et à jour par rapport aux 200 cas de mortalités estimés annuellement en France. Il existe une grande transparence dans le recensement des cas de vaches atteintes d'ESB, mais elle ne me semble pas aussi systématique pour ce qui concerne les cas graves de toxi-infection alimentaire. La transparence devrait également être systématisée lorsqu'un établissement de l'agro-alimentaire a été condamné pour des fautes mettant en péril la santé publique. Le Québec pratique déjà cette transparence maximale qui je crois favorise largement leur système de veille sanitaire et de confiance du consommateur.

Le besoin d'information par rapport aux risques de santé publique ne se limite pas seulement à la sécurité alimentaire. Je crois qu'il serait aussi intéressant d'informer davantage le public sur le nombre et les causes de mortalité ou d'infirmité dus aux pratiques sportives à risque cardio-vasculaire, à la surcharge pondérale, à l'usage intensif des médicaments... sans parler de l'alcoolisme, de la drogue et du tabac bien sûr.

 lundi 4 octobre 1999 19:18

Sécurité alimentaire : l'ardente obligation par Jean Glavany, ministre de l'agriculture et de la pêche
  (accès payant dans le site du Monde )

mercredi 23 février 2000 08:59

EDITO de l'Alsace : Consommateur citoyen

http://www.alsapresse.com/jdj/00/02/23/IGF/article_3.html

Communication de crise, crise de la communication

http://www.alsapresse.com/jdj/00/02/23/IGF/article_10.html

 

vendredi 15 septembre 2000 20:52

BOCCRF du 25-07 - Rapport du Conseil national de la consommation relatif à l'information des consommateurs sur les méthodes de conservation des denrées alimentaires périssables : les viandes.
http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/boccrf/00_08/a0080016.htm

BOCCRF du 25-07 - Avis du Conseil national de la consommation relatif à l'information des consommateurs sur les méthodes de conservation des denrées alimentaires périssables : les viandes
http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/boccrf/00_08/a0080017.htm

 dimanche 22 octobre 2000 10:08

LE MONDE 22-10 L'industrie agroalimentaire veut regagner la confiance des consommateurs
  (accès payant)

 LE MONDE 22-10 Xavier de Roux, avocat spécialiste du droit de la distribution
« Il faut distinguer risque récurrent et risque nouveau »
  (accès payant)

 jeudi 26 octobre 2000 22:51

La consommation des produits animaux en France : tendances et perspectives d'évolution
http://www.inra.fr/Internet/Produits/PA/an1997/num974/combris/pc974.htm

 vendredi 10 novembre 2000 22:02

COMPORTEMENT D'ACHAT D'UN PANEL SCANNERISE
http://www.inra.fr/Internet/Unites/CRIAA/AD/fiches/129.htm

 

 lundi 27 novembre 2000 20:44

DG 24 27-11 PROJET POUR LE PROGRAMME DE TRAVAIL 2001 DU PROGRAMME D'ACTION COMMUNAUTAIRE DE PROMOTION, D'INFORMATION, D'ÉDUCATION ET DE FORMATION EN MATIÈRE DE SANTÉ
http://europa.eu.int/comm/health/ph/programmes/health/docs/work2001_fr.pdf

 samedi 9 décembre 2000 11:16

L'ALSACE 09-12 Dossier crise alimentaire
http://www.alsapresse.com/jdj/00/12/09/dossier/

 
Thu, 8 Feb 2001 21:27:15 +0100    

Les consommateurs, l'agriculture, la qualité et la sécurité des aliments :
une analyse du questionnement des consommateurs et des réponses apportées.
http://www.inra.fr/Internet/Produits/PA/an2000/num205/bonny/sb205.htm

 

  samedi 31 mars 2001 12:08


COMPORTEMENT D'ACHATS DU CONSOMMATEUR
http://www.inra.fr/Internet/Unites/CRIAA/AD/fiches/139.htm

LES SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES APPLIQUEES A L'ALIMENTATION
http://www.inra.fr/Internet/Unites/CRIAA/AD/fiches/138.htm

 vendredi 6 avril 2001 07:53

WEBAGRI 05-04 Dossier : rôle des médias en temps de crise
http://www.web-agri.fr/infos/dossiers/05_04_01/

  lundi 9 avril 2001 08:09

TRANSRURAL 09-04 Consommateurs : ni confiance dans l'agriculture, ni dans les contrôles
http://www.globenet.org/tri/numero-186/consommation.htm
Interview de Vincent Perrot.

  vendredi 20 avril 2001 22:28

INRA 19-04 Quelques questions à propos des récentes " psychoses " alimentaires
Principe de précaution, de protection, de déraison ?
Léon Guéguen
Directeur de Recherches honoraire de l'Inra
Ancien Directeur du Laboratoire de Nutrition et Sécurité Alimentaire à Jouy-en-Josas
Expert à l'Afssa
http://listes.inra.fr/wws/d_read/aliment-recherche/article/

Marianne tor-3925@planetinternet.be samedi 21 avril 2001 09:54

http://listes.inra.fr/wws/d_read/aliment-recherche/article/psychose.pdf

Lien publié sur la liste Hygiène.

Vos réactions?

Cordialement,

Marianne Duckerts

 samedi 21 avril 2001 13:08

La psychose est en effet une arme de manipulation bien connue dans les régimes totalitaires. Je suis donc tout à fait d'accord pour ce qui concerne l'analyse faite sur la psychose irrationnelle que souhaitent orchestrer certaines organisations à des fins pas toujours légitimes.

Je constate cependant que différents problèmes qui nous sensibilisent (sous-déclaration des tiac, antibiotiques) ne sont pas évoqués dans cette analyse.


L'article de Léon GUEGEN souligne à juste titre que la veille sanitaire n'a jamais été aussi bien assurée en France. Il ne faut cependant pas oublier que les importations continuent à progresser et que nous n'avons probablement pas la même marge de manoeuvre à ce niveau.

Pour aller dans le même sens que cet article, je pense aux levées de boucliers qui ont suivi les décisions de mise aux normes des étals sur les marchés. Les médias ont relayé le procès public de l'Europe qui soudainement aurait voulu tout faire changer, alors qu'on atteignait simplement l'échéance réglementaire des prescriptions de l'arrêté du 9 mai 1995. Bien sûr, tout le dispositif d'assistance économique mis en place avait été occulté.  Dans cette dénonciation on préférait protéger tout le monde, et par conséquent même les professionnels les moins scrupuleux.

De même on peut s'apercevoir que l'on sera toujours plus indulgent avec certains traiteurs locaux qui pourtant nous vendent des produits à la fois chers, risqués, mais pas trop mauvais au goût.  

L'article de M. GUEGEN nous démontre donc que les raisons évoquées dans cette orchestration de psychose ne sont pas toujours légitimes. Mais je constate par ailleurs que différents problèmes qui nous sensibilisent en tant que professionnels ne sont pas évoqués dans cette analyse.

S'il n'y a que peu de toxi-infections déclarées, c'est que la population et plus gravement les médecins, ne savent pas du tout qu'ils doivent le faire auprès des services vétérinaires et/ou de la DDASS suite à une suspicion.

Je suis d'ailleurs toujours étonné par les différences incroyables dans les statistiques que nous donnent les différents pays.

Aux Etats-Unis, après un chiffre de 9000 morts annoncé jusqu'en 1999, les dernières statistiques les estiment généralement à 5000 (contre une estimation de 100 à 150 en France).

Si je prends cette comparaison par rapport au chiffre des cas mortels d'infections nosocomiales le facteur se réduit de 70.000 cas aux Etats-Unis contre 10.000 cas en France  ce qui est statistiquement logique du fait que les Américains sont six fois plus nombreux.

D'autre part il me semble qu'il y a quand même matière à dénoncer un certain productivisme dans l'agriculture.

Ce que craignent certains repose sur l'irréversibilité des conséquences de nouvelles inventions qui de plus n'apportent pas forcément un bénéfice pour le consommateur tout en lui faisant courir un risque (aussi hypothétique qu'il soit).

Je prends pour simple exemple concret le risque encouru par les responsables Britanniques en réduisant les barêmes de stérilisation des farines animales issues de carcasses d'ovins infectées de tremblante. Bien sûr, ces experts ne se doutaient certainement pas de l'ampleur des conséquences de leur faute (notamment dans le domaine économique), mais leur opération était inspiré d'une logique économique insensée du fait de la surproduction qu'elle engendrait.

Dans l'exemple des OGM de première génération, n'a-t-on pas courru le même risque avec les marqueurs de résistance aux antibiotiques ?.

Les scientifiques les plus convaincus de l'innocuité des OGM de première génération reconnaissent que
"Là où un problème pourrait survenir, c'est si cette séquence de nucléotides se trouvait transmise à une bactérie, et s'y multipliait, lui permettant alors de survivre en présence d'un antibiotique dégradable par la b-lactamase par lequel on cherche précisément à l'éliminer. Scénario catastrophe dont la vraisemblance fait l'objet d'impossibles estimations et d'interminables controverses dont il constitue à mon sens un prétexte plus qu'un argument."  
http://www.larecherche.fr/data/327/03270351.html

Le communauté européenne a montré qu'elle était encore plus sensible  au risque lors de la dernière réunion du Codex au Japon :
"RÉPONSE DE LA COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE AU CL 2000/50 FBT - Groupe spécial intergouvernemental du Codex sur les aliments dérivés des biotechnologies, Tokyo, 25 -29 mars 2001

La Communauté européenne se déclare préoccupée par la résistance accrue aux antibiotiques utilisés à des fins humaines ou vétérinaires. Elle propose donc de modifier la dernière ligne du paragraphe 58 de l'Avant-projet de directives régissant la conduite de l'évaluation de la sécurité des aliments dérivés des plantes obtenues à l'aide des biotechnologies modernes comme suit:

« Les gênes de résistance aux antibiotiques utilisés dans la production alimentaire qui codent des résistances à des antibiotiques utilisés pour un traitement médical ou vétérinaire ne doivent pas être présents dans les aliments et doivent être progressivement éliminés"

J'ajoute que la Commission Européenne vient d'ailleurs de prendre une sage décision  dans la directive 2001/18/CE du 12 mars 2001 en demandant de renoncer à la mise sur le marché d'ici le 31 décembre 2004 tout produit issu de cette technologie.


Mais le principal problème par rapport aux antibiotiques est celui de l'administration aux animaux à des fins de productivité.

Déjà en 1996, et certainement encore plus tôt, l'OMS nous alarmait sur les risques encourus :
"Une cause principale de cette crise de résistance aux antibiotiques est l'utilisation incontrôlée et inappropriée des antibiotiques dans le monde entier. Trop de gens s'en servent pour traiter des infections contre lesquelles ils ne sont pas indiqués, à des dosages inadéquats et pendant des périodes de temps incorrectes.
Les antibiotiques et les autres agents antimicrobiens sont utilisés par quantités énormes dans le monde entier pour la production d'aliments d'origine animale destinés à la consommation humaine. Chaque année, ce sont 170 milliards de tonnes de viande qui sont produites. Les bactéries pharmacorésistantes et les autres microbes sont transmis au consommateur à travers la chaîne alimentaire et risquent ainsi de provoquer des maladies ou de transférer leur résistance aux agents pathogènes humains."


En définitive je constate en relisant un message que j'avais transmis le 1er août 1998 au sujet de la surproduction, que les événements qui se sont succédés depuis m'ont malheureusement donné raison.
arcogmantibio.html

Pour revenir sur l'article de Léon Guéguen, je trouve qu'il est adapté au contrepoids nécessaire par rapport à la "mal-information" qui recouvre encore nos gazettes. Mais cet article laisse penser qu'il n'y a rien à améliorer dans le système actuel.

Je crois cependant au bon sens des consommateurs et je suis convaincu que les réactions inapropriées de rejets de certains produits (ex. fromages au lait cru)  suite aux premières alertes médiatisées des années 98-99 ne seront plus d'actualité dans quelques temps.

Nous sommes en effet dans une ère de prise de conscience internationale.

Dans le cadre franco-français je pense que nous avons pas mal de choses à apprendre auprès de nos amis Canadiens qui savent être plus transparents au niveau des alertes de produits et des établissements sanctionnés ou mis en valeur pour leurs efforts (classement des restaurants à Toronto, mais également le système de notation du Royaume-UNI concernant les abattoirs et les ateliers de transformation).





  mercredi 6 juin 2001 07:52

TRANSRURAL 30-05 Nouvelles des épizooties
Les effets des crises de la vache folle et de la fièvre aphteuse tendent à s'atténuer auprès du public. Le recul de la consommation de viande bovine par rapport à l'année dernière n'est plus que de 10% en mai, contre 27% en janvier. Où en sont ces épidémies qui ont défrayé la chronique cet hiver ?
http://www.globenet.org/tri/numero-190/epizooties.htm

  mercredi 27 juin 2001 21:15

JOCE 27-06 Déclaration commune concernant le règlement (CE) no 1049/2001 du Parlement européen et du Conseil du 30 mai 2001 relatif à l'accès du public aux documents du Parlement européen, du Conseil et de la Commission (JO L 145 du 31.5.2001, p. 43)
http://europa.eu.int/servlet/portail/RenderServlet?model=xml&lg=fr&search=RefPub&year=2001&nu_jo=173&page=0005&coll=JOL

  dimanche 16 septembre 2001 20:31

Commission d'Accès aux Documents Administratifs - rapport d'activité 1999-2000 - On peut également trouver dans ce site 79 avis concernant les affaires relatives à l'environnement.
http://www.cada.fr/fr/actu/frame.htm

 

 jeudi 24 janvier 2002 22:54

Vous trouverez ci-dessous le sommaire des six bulletins 2001 (et du 1er bulletin 2002) de l'office vétérinaire fédéral de Suisse.

http://www.bvet.admin.ch/gesundheit_tiere/02172/index.html?lang=fr&download=01646_fr.pdf

3/01
Communiquer les risques c'est gagner la confiance du public
La communication doit être C.O.K.E.!

 vendredi 1 mars 2002 08:36

ACSH Février 2002 Warning: Starbucks Protestors Spread False Fears About Safe Foods: Misleading attacks on milk and safe foods cause unnecessary concerns for parents and consumers
http://www.acsh.org/press/releases/warning022502.html

 

mercredi 24 avril 2002 09:39

E-WIRE 23/04/02 HERE Cites Food Safety Record and Poor Employee Relations as Obstacles to Further Growth for Flying Food Group

http://www.ewire.com/display.cfm/Wire_ID/1117

 mardi 9 juillet 2002 07:51

Economic Research Service U.S Department of Agriculture  03/07/02 CONSUMER FOOD SAFETY BEHAVIOR: A CASE STUDY IN HAMBURGER COOKING AND ORDERING
http://www.ers.usda.gov/publications/aer804/aer804a.pdf

 samedi 31 août 2002 10:08

FOXNEWS 30/08/02 "The Other Fake Meat" - "You might think the anti-meat food police at the Center for Science in the Public
Interest would be cheering the new meat substitute Quorn. Instead, CSPI is scaring the public and
bad-mouthing Quorn to the Food and Drug Administration." (Steven Milloy, FoxNews.com)
http://www.foxnews.com/story/0,2933,61686,00.html

 jeudi 12 septembre 2002 23:13

CNS NEWS 12/09/02 Maker of Meat Substitute Says It's a Victim of Conspiracy
http://www.cnsnews.com/ViewCulture.asp?Page=\Culture\archive\200209\CUL20020911a.html

 

  mercredi 2 octobre 2002 08:26 L'ECONOVATEUR Octobre 2002 La valeur éthique du bien de consommation
http://www.econovateur.com/rubriques/anticiper/ethsociete011002.shtml

  vendredi 4 octobre 2002 17:18

PAYSAN BRETON 04/10/02 ED 35 : COMMUNICATION:Rencontres à la ferme :montrer la réalité
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=2527

 

 vendredi 21 février 2003 08:03

AGRISALON 20/02/03 Vient de paraître : Le Petit guide à l'usage du consommateur curieux
http://www.agrisalon.com/06-actu/article-9452.php

samedi 22 mars 2003 10:57

Maison de la Consommation et de l'Environnement (MCE) - Les consommateurs et l'évolution des produits alimentaires
http://www.mce-info.org/Pdf/consommateurs_et_produits_alim.pdf

vendredi 25 avril 2003 08:43

POLITIS 24/04/03 « Organiser la controverse sur les enjeux scientifiques », un entretien avec le toxicologue andré Cicolella
http://www.politis.fr/article.php3?id_article=541

mardi 29 avril 2003 21:39

MINISTERE DE L'AGRICULTURE 28/04/03 Message d'Hervé GAYMARD, Ministre de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche et des Affaires Rurales, adressé à la famille de Marie-José NICOLI et à l'UFC-Que Choisir
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/leministere.leministrelecabinet.communiquesdepresse_a2076.html

mercredi 28 mai 2003 08:22

THE ROYAL SOCIETY Décembre 2001 Guidelines on science and health communication

http://www.sirc.org/publik/revised_guidelines.shtml

 

THE ROYAL SOCIETY Avril 2000 Scientists and the media

http://www.communicatingastronomy.org/repository/guides/document-105.pdf



dimanche 12 octobre 2003 09:58

Je transfère ce message de Cyril QUEMERAS.

Je joins mes félicitations pour le succès de sa thèse LISTES DE DISCUSSION
DESTINEES AUX PATIENTS CONCERNES PAR UNE PATHOLOGIE RARE, GRAVE OU
CHRONIQUE, et l'en remercie pour sa mise en ligne.


Cher gestionnaire de la liste hygiene,

    en juin dernier, vous avez fort aimablement accepté de diffuser sur la liste de discussion dont vous êtes gestionnaire un message que j'avais écrit afin d'inviter vos abonnés à participer à ma thèse de doctorat en médecine en répondant à un questionnaire sur les listes de discussion destinées aux patients concernés par une maladie rare, grave ou chronique.

    Mon travail est terminé, et j'ai soutenu ma thèse le mardi 30 septembre dernier à la Faculté de Médecine de Brest.

    Je suis heureux de vous annoncer que le jury m'a attribué le grade de docteur en médecine, avec la mention "échanges et concours", qui est la plus haute mention de notre Faculté.

    Je tenais à partager avec vous la part de cette récompense qui vous revient à vous et vos abonnés, et à vous remercier pour votre participation à mon étude.

    Comme promis, vous pouvez dès à présent télécharger l'intégralité de ma thèse ainsi que les documents qui ont servi à sa soutenance, à l'adresse suivante:

-> http://www.medicalistes.org/these/

    Merci de diffuser ce message - si vous le voulez bien - à votre liste, afin que ses abonnés soient remerciés de leur aide.


 

samedi 15 mai 2004 14:02

VETSCITE 14/05/04 Science and the Mass Media: A Clash of Cultures
http://www.vetscite.org/publish/items/001781/index.html

VENDREDI 05 NOVEMBRE 2004 

INSTITUT EUROPEEN DES HAUTES ETUDES INTERNATIONALES - Memoire - Information et responsabilisation du consommateur - quelle politique européenne 
http://www.iehei.org/bibliotheque/YohanPASCAL.pdf 

Autres informations concernant l'information des consommateurs: 
SCADPLUS - INFORMATION DES CONSOMMATEURS 
http://europa.eu.int/scadplus/leg/fr/s16400.htm 

CNA 25/06/02 Avis sur l'information des consommateurs relative aux denrées alimentaires 

http://www.agriculture.gouv.fr/spip/ressources.publicationsofficielles.avisduconseilnationaldelalimentationcna_r381.html

CONSEIL NATIONAL DE L'ALIMENTATION JUILLET 2004 Rapport sur la préparation de l'entrée en vigueur, au 1er janvier 2005, de certaines dispositions du règlement CE n°178/2002 du Parlement européen et du Conseil, qui concernent les entreprises Version définitive du 05/07/04 
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/IMG/pdf/05072004.pdf

Au sommaire: L';information des consommateurs 

 

JEUDI 18 NOVEMBRE 2004

UNIVERSITE PANTHEON SORBONNE - PERSISTANCE DE LA RUMEUR - Sociologie des rumeurs électroniques - Emmanuel TAIEB
http://crps.univ-paris1.fr/doctorants/reseaux_rumeurs.pdf


MERCREDI 24 NOVEMBRE 2004

LE JURA AGRICOLE 22/11/04 "Il faut responsabiliser le consommateur" - Loi de modernisation agricole
http://www.juragricole.com/news/fullstory.php/aid/4310

 

BERTRAND CARLIER : Tue, 7 Dec 2004 08:47:36 +0100
Objet : Amazon facilite la comparaison des prix grace aux mobiles

-> INFORMATIQUE ET TELECOMMUNICATIONS
Amazon facilite la comparaison des prix grace aux mobiles

Amazon Japan, la filiale japonaise du site commercial americain Amazon a introduit dans l'archipel une nouvelle fonction disponible sur la version mobile de son site Internet, appelee "Amazon scan Search". Apres avoir telecharge un logiciel gratuit sur son telephone portable, l'utilisateur peut scanner le code barre de n'importe quel produit qu'il voit en magasin grace a la fonction camera de la plupart des telephones portables actuels, le logiciel se connecte ensuite a la base de donnee d'Amazon Japan pour trouver le produit en question, afficher le prix et permettre la commande directement depuis le telephone. Ce nouveau service offert uniquement par Amazon Japan constitue une avancee interessante dans le pouvoir de decision des consommateurs avant d'effectuer un achat du fait de l'extreme simplicite du processus et de sa disponibilite.

Sources : Ketai Watch, 22/11/2004
Redacteur : sebastien.bruel@diplomatie.gouv.fr
342/STIC/2091

Cette information est un extrait du BE Japon numero 342 du 6/12/2004 redige par l'Ambassade de France a Tokyo et diffuse par l'ADIT - Retrouvez tous les BE sur http://www.bulletins-electroniques.com - Abonnement gratuit par email : subscribe.be.japon@adit.fr

bonjour,

c'est souvent la technique qui permet le progrés, mais il est rare que les usages initiaux soient les plus pertinents. 

il me semble que les consommateurs peuvent être demandeurs d'autres info que le prix.

amicalement
bertrand CARLIER

Bertrand CARLIER Tue, 4 Jan 2005 09:49:57 +0100

TERRE-NET 03/01/05 Louis Orenga (CIV) - « Il faut réduire l'écart qui existe entre la perception du consommateur et la réalité »
http://www.terre-net.fr/actus/actus_detail.asp?id=43569&periode

...

Milfeuille Presse : Quelle sera votre stratégie de communication pour 2005 ?
Louis Orenga : Au niveau collectif, il existe deux émetteurs : l'interprofession et le CIV, qui rassemble bien sûr les professionnels mais aussi des associations de consommateurs, des scientifiques, des associations de protection de l'environnement.. Les campagnes de l'interprofession seront fondées sur le goût, le plaisir que procure la consommation de viande Le CIV va continuer l'information sur les problématiques sanitaires, mais ce ne sera pas la priorité, les consommateurs semblent être au courant Aussi allons-nous insister sur trois axes, pour réduire les écarts énormes qui existent entre la perception des consommateurs et la réalité : la place de la viande dans une alimentation équilibrée, la connaissance des produits - quels morceaux existent et comment les cuisiner - et les métiers de la filière - il informer les gens sur la réalité dans les élevages en insistant sur la réglementation très lourde qui existe, notamment en ce qui concerne le bien-être et le transport, sur la réalité dans les abattoirs qui aujourd'hui sont majoritairement conçus comme des laboratoires pharmaceutiques

bonjour,


il semble quand même que cette structure évolue, le consommateur n'est plus un hystérique ou pire encore, il semble qu'il soit en fait mal informé et ceci depuis bien longtemps On peut alors se poser une question simple:

qu'a fait le C.I.V depuis des années

amicalement
Bertrand CARLIER


ps: cette phrase ne concerne à mon sens pas que la viande
« Il faut réduire l'écart qui existe entre la perception du consommateur et la réalité »

 

VENDREDI 21 JANVIER 2005

ASSEMBLEE NATIONALE 20/01/05 CONFIANCE ET PROTECTION DU CONSOMMATEUR (deuxième lecture)
L'ordre du jour appelle la discussion, en deuxième lecture, de la proposition de loi, modifiée par le Sénat, tendant à conforter la confiance et la protection du consommateur.
http://www.assemblee-nat.fr/12/cra/2004-2005/119.asp#P42_470



MARDI 25 JANVIER 2005

DGCCRF 21/01/05 Loi tendant à conforter la confiance et la protection du consommateur
Ce texte, adopté le 20 janvier 2005, vise à protéger les consommateurs en facilitant la résiliation des contrats tacitement reconductibles et en
renforçant l'encadrement du crédit renouvelable
http://www.finances.gouv.fr/dgccrf/04_dossiers/consommation/economic/loichatel21012005.htm?ru=04


JEUDI 03 FEVRIER 2005 

CONSEIL DES MINISTRES 02/02/05 Le ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l’artisanat, des professions libérales et de la consommation a
présenté une communication sur la politique de protection des consommateurs.
http://www.premier-ministre.gouv.fr/IMG/rtf/Communique_du_2_fevrier_2005.rtf

 

JEUDI 17 FEVRIER 2005

MATIGNON 16/02/05 CONSEIL DES MINISTRES du 16/02/05 Au sommaire : droit du consommateur - services à la personne - dépistage du cancer 
http://www.premier-ministre.gouv.fr/IMG/rtf/Communique_du_16_fevrier_2005.rtf


MARDI 26 AVRIL 2005

JO ASSEMBLEE NATIONALE 19/04/05 Au sommaire:
QE N° 54215;consommation - réglementation - consommateur. définition juridique
http://questions.assemblee-nationale.fr/q12/12-54215QE.htm

JEUDI 28 AVRIL 2005

VIVANT INFO 15/03/04 Au sommaire:
http://www.vivantinfo.com/uploads/media/democratie.pdf

Faut-il soumettre les choix technologiques à la démocratie ?


MERCREDI 08 JUIN 2005 

OMS 07/06/05 L'OMS et la FAO vont consulter des associations de consommateurs de 25 pays sur les moyens de développer leur engagement pour la sécurité sanitaire des aliments
http://www.who.int/mediacentre/news/notes/2005/np12/fr/index.html

 

VENDREDI 10 JUIN 2005

INFOTOX MARS 2005 Le consommateur, maillon faible de la toxicovigilance
http://www.toxicologie-clinique.org/infotox20.pdf



VENDREDI 17 JUIN 2005
DGCCRF 16/06/05 Rapport d'activité 2004 de la DGCCRF
http://www.finances.gouv.fr/dgccrf/01_presentation/activites/2004/index-d.htm?ru=01

Au sommaire:
La sécurité des produits industriels et des services

La participation à l'élaboration de la réglementation
Les relations avec les associations de défense des consommateurs
La concertation dans le cadre du Conseil national de la consommation (CNC)
Le partenariat avec l'INC et le CREDOC
La reflexion au sein des « Ateliers de la consommation »
L'information des consommateurs

 


VENDREDI 05 AOUT 2005


SAFE FOOD - 2005 SFI Presentations - Safe Food International Conference Geneva, Switzerland June 8–10, 2005
http://www.safefoodinternational.org/conference2005presentations.html

Au sommaire:
Food Safety Independent Testing in the South Caucasus (Armenia)
Ligue pour la défense du consommateur au Bénin (Benin)
Construire Sur Nos Forces : Organismes Du Consommateur Aujourd'hui (Brazil)

Review of section 7 in the Guidelines Draft with a reference to general comments on the whole guidelines (China)
Profile: Federation of Consumer Organisations – Tamilnadu & Pondicherry (FEDCOT) (India)

 

 

 

valerie tartare Sat, 06 Aug 2005 16:14:23 -0000

J'ai acheté dans un supermarché citadin des produits sous vide et :
-les bords des tranches de carpaccio sont verts
-le saumon fumé présente une bande verte sur toutes les tranches

Ce serait soit disant dû au mode de conservation et d'emballage de ces produits, mais je n'avais jamais remarqué ces traces vertes avant, et de plus dans ce meme magasin (qui appartient pourtant à une chaine qui communique sur la qualité de ses produits), j'ai pu constater (30/07) une tendance à proposer en rayon UNIQUEMENT des produits qui sont à quelques jours de leur date de péremption

-pour certains produits frais :

**rayon salade : TOUTES les salades sont à J-2 ou J-3 de leur péremption. Aucune ne va au delà, dans TOUT le rayon. TOUTES celles qui ont une puce fraicheur sont impropres à la consommation (centre plus noir que l'anneau), alors que leur date de péremption n'est pas atteinte. Ces salades sont pourtant restées en rayon jusqu'à leur péremption.

**légumes emballés sous cellophane : aucune date de péremption ni d'emballage !! normal selon un des employés puisque ce sont des légumes ??!!

**avocats "murs" : au 30 juillet le rayon "avocat mur" contient des avocats qui étaient murs,selon leur propre étiquette entre le 20 etle 23 juillet etc.

**globalement, les produits frais que j'ai vus (salades et plats préparées,coraya etc. ), sont eux aussi à J-3/-4 , alors que certains sont des produits qui peuvent rester 1 mois en rayon.

**idem les soupes bio, certains yahourts etc,j'arrete la liste ici.

J'ai des doutes sur la qualité et la fraicheur des produits dans ce magasin. Cette volonté d'écouler absolument les marchandises jusqu'à leur date limite, sans mettre en rayon d'autres produits plus frais, ne peut elle pas mener à négliger l'hygiène et la sécurité au profit des recettes, et par là fermer les yeux lorsque la chaine du froid n'est pas respectée, ce qui expliqueraitl'aspect verdâtre des viandes et poisson.

Que faire ?

 

Bertrand CARLIER Sun, 7 Aug 2005 09:24:39 +0200

le texte évoqué est consensuel, mais est-il à la hauteur des demandes fondées des différents acteurs de la société dont les scientifiques qui ont été très critiqués et à juste titre ces derniers temps?

Si la traçabilité, mais surtout la qualification, est à limiter pour des motifs économiques, ce que je comprends, il ne faut pas aussi oublier que c'est aussi un des outils indispensable pour les scientifiques (1)..

Il faut alors faire des choix: avoir une recherche au meilleur niveau et donc pouvant avoir les "moyens*" de préciser les vraies questions sociétales et capable de mieux anticiper les crises profondes ou une recherche qui n'est questionnée qu'à posteriori (2), ce qui a été trop souvent le cas ces 30 dernières années, deux exemples:

-on a une idée du nombre de cas de cancers en France depuis combien de temps ?

-on connait l'âge moyen abatage des animaux d'élevage depuis quand et il a fallu combien de temps lorsque l'on s'est posé la question pour obtenir la première réponse qui en a surpris plus d'un ?

Dit autrement, les moyens techniques actuels permettent de faire ce qui n'a jamais été possible jusque là pour des raisons techniques, financières,..., la question devient:

comment utiliser au mieux les nouveaux moyens qui nous sont possibles et ceci dans le cadre d'un développement durable ?


j'ai cité, il y a peu, un texte:
http://www.ew.govt.nz/enviroinfo/pests/animals/documents/rcdProtocols.pdf

c'est un exemple très démonstratif qui montre, il me semble, ce que peut vouloir dire data et travail coordonné pour respecter les différents acteurs d'une société. Il va falloir combien d'années pour avoir un travail de cette qualité en Europe et dans bien d'autres pays d'ailleurs ?

ce travail repose actuellement sur un nombre de données certes faible, mais il ne fera que s'embellir tous les jours.

amicalement
Bertrand CARLIER

(1) voir dossier génétique animale, avec l'exemple classique de l'émergence de la laine mérinos:
si une particularité génétique aussi avantageuse pour les sociétés apparaissait dans une exploitation, serions-nous capable de la détecter et de la valoriser ?

dans la très grande majorité des cas la réponse est non.

(2) cela peut aussi être une stratégie perverse de fonctionnement .


* le mot moyen dans cette phrase ne signifie pas uniquement moyen financier, voir dossier salmonelle en Espagne.

 

Christian Felter Mon, 08 Aug 2005 08:14:09 +0200

il est admis que les puces RFID remplaceront le code barre d'ici quelques années.
Je pense que ce sera assez rapide au motif que quand vous passez à n'importe quelle caisse actuellement il y a de plus en plus d'articles qui sont saisis en manuel car la douchette ne lit pas le code barre.

Pas trop d'idée par contre pour la traçabilité fondée sur l'ADN en filière bovine et le code barre matriciel tels que présentés à l'IPA 2002.

Quelqu'un sait t il ce que c'est devenu?

Bertrand CARLIER Mon, 8 Aug 2005 07:38:19 +0200

peut être qu'en plus du texte que je vous ai transmis en direct vous
pourriez vous pencher sur les moyens nouveaux de communication et de stockage de faits:

http://dicodain.free.frpour l'exemple

http://www.portiragnes.free.fr/wiki/ pour le site de l'incendie SBM

Concernant le fonctionnement des sites de type Wikipedia, il existe beaucoup de version (Wikini, Wakka, Wikiwiki, Easywiki, Wikimedia, etc...). Et concernant précisément Wikipedia, il fonctionne sur un moteur Wikimedia. Voir ce site :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mediawiki

ceci n'est nullement une critique de la liste hygiène.

 

martin_100779 Tue, 09 Aug 2005 09:17:58 -0000

La meilleure chose à faire est de contacter la DGCCRF (répression des fraudes) pour leur signaler ces infractions.

 

valerie tartare Tue, 9 Aug 2005 15:45:00 +0200 (CEST)

J'ai contacté un service public à n° spécial et une association de consommateurs. En gros, ils m'ont renvoyée vers d'autres services, qui ne répondent pas au téléphone; il faut faire un courrier, mais la procédure à l'air bien compliquée et un peu lourde à mettre en place.
La personne de l'association de consommateur m'a meme répondu qu'elle meme n'aurait jamais acheté des produits avariés (!) et que je n'avais qu'à faire attention à mes achats (!) -alors qu'ils étaient sous emballage opaque. Visiblement, elle était tout aussi qualifiée que moi sur les questions d'hygiène, et après une conversation ou j'ai du hausser le ton, elle a conclu que j'avais bien raison d'etre en colère et que je devrais alerter par courrier sa hierarchie, en reconnaissant que ce n'était pas toujours tres utile, qu'il fallait de nombreuses plaintes pour qu'une enquete soit ouverte. Je me demande si cette grande assoc de consommateurs est subventionnée ??!!

Mais merci pour votre conseil, je vais voir du coté de la DGCCRF, et bonne journée

 

Serge Cheminade Wed, 10 Aug 2005 08:03:29 +0200

Votre remarque en ce qui concerne les subventions pour une association de consommateurs ne peut que me conduire à réagir.

Pendant plusieurs années j'ai été un membre actif d'une association de consommateurs. Une association de consommateurs est composée de quelques salariés. Parmi ces salariés il peut y avoir des juristes, des scientifiques... mais la plus grande partie des acteurs d'une association de consommateurs sont des bénévoles qui payent une adhésion et qui consacrent du temps à l'association. Il est vrai que certains n'ont que leur bonne volonté et peu de connaissances. En plus de leur adhésion les bénévoles ont parfois d'autres frais qui le plus souvent ne leurs sont pas remboursés.

Suivant les structures il peu y avoir des formations internes mais les moyens des associations de consommateurs sont faibles par rapport à leurs missions.

Elles font avec les bénévoles qu'elles ont. De plus leur force vient du soutien des consommateurs. Je sais parfaitement que les associations de consommateurs pourraient faire beaucoup mieux. Pour cela elles ont besoin à la foi de soutiens financiers et humains (bénévoles). Il me semble que vous critiquez sans avoir apporté aucun de ces deux soutiens.

Il est fortement souhaitable, pour leur indépendance, que les associations de consommateurs dépendent du soutien des consommateurs.

Bertrand CARLIER Wed, 10 Aug 2005 10:40:09 +0200

il semble qu'il existe des particularismes français. Le fonctionnement des associations de consommateurs en est un. Peut - être devrions nous nous poser

des questions.

http://www.auditnet.org/aplinks.htm

http://www.ethicsline.com/services/default.asp

En tout cas, si notre droit alimentaire avait autant de failles , cela ne s'est pas fait sans au moins l'accord des associations de consommateurs ( voir dossier veau ou sanglier, mais la liste peut être longue... )

Il me semble que comme pour le syndicalisme agricole les choses vont changer car, par exemple, au niveau de l'EFSA il n'y a que des représentations européennes.
http://www.efsa.eu.int/stakeholder_stakeholder_consultative_platform/consultative_platform/1058/call_expression_interest1.pdf

 

Laurent KRYSIAK Wed, 10 Aug 2005 11:10:30 +0200

je suis parfaitement d'accord avec Gilles, et j'ajouterai pour le chapître des "légumes sous cellophane sans dates" : aucune obligation légale

Concernant le respect de la chaîne du froid, j'estime à 10-15 % maxi le pourcentage de consommateurs qui utilisent des sacs isothermes pour conserver leurs aliments réfrigérés et/ou surgelés pendant le temps de transport jusqu'à leur domicile...et je ne parle pas même pas du pourcentage de ceux qui utilisent des glacières...(hier soir, dans un hypermarché, je devais être le seul !)


valerie tartare Wed, 10 Aug 2005 17:44:14 +0200

Je vous remercie pour votre réponse. Effectivement, je suis dans l'impression (d'un certain laxisme), et je n'ai pas de preuves concretes, surtout sur les carpaccio et le saumon. Je me trompe peut etre, j'exagère peut etre, si c'est le cas tant mieux. Mais c'est la première fois que j'ai des appréhensions sur la fraicheur des produits dans un grand magasin, et les faits que je rapporte, sans constituer une preuve, me paraissent suffisants pour au moins douter de, se poser des questions sur, la qualité de l'hygiène dans ce magasin. et il s'agit de faits répétés. C'est pourquoi j'ai écrit aux services vétérinaires.

C'est vrai que ce que je rapporte n'est peut etre pas si grave, mais j'attends plus en matière d'hygiène (je ne sais pas si c'est le mot approprié) d'un supermarché, que de la part d'un épicier de quartier, voire d'une superette. Par ailleurs, ce magasin n'a pas de concurrents (en matiere de taille, diversité des produits notamment frais etc) dans le quartier où il est situé, il est réellement en situation dominante, contrairement à ceux situés dans des quartiers plus centraux. De plus, cliente régulière de la chaine, mais dans un autre quartier, je n'ai jamais constaté les faits rapportés dans les autres magasins de la chaine. Chaine qui me parait irréprochable. Bref, je faisais confiance a priori à ce magasin plus qu'à un autre parce qu'il fait partie de cette chaine. Et ce magasin bénéficie de la réputation de son enseigne. Il y a des enseignes plus ou moins réputées, celleci me parait garantir la consommabilité de mon carpaccio ! (plus que le boucher du coin).

Quelques remarques concernant vos propres remarques :

carpaccio / saumon -achetés le meme jour- et oxydation du produit : peut etre, mais j'insiste, je n'avais jamais vu de telles couleurs sur de la viande ou du poisson (plus qu'une simple décoloration), et de plus, ceci est à mettre en relation avec la tendance à laisser en rayon des produits très proches de leur péremption.

salades :
GT "Dans la pratique, la durée de conservation totale se répartie en trois (1/3 pour le fabriquant, 1/3 pour le distributeur, 1/3 pour le consommateur)."
---
VT : Je pense que nous sommes d'accord : le magasin est donc bien hors des pratiques habituelles, puisque pour une bonne partie des salades (et certains autres produits), les 1/3 de durée de conservation du consommateur n'y sont pas. Mais c'est vrai, les produits ne sont pas hors DLC.

légumes emballés sous cellophane (ou barquette plastique) : je peux me tromper, mais je crois que c'est sur la hotline de la DGCCRF qu'on m'a dit que tout produit emballé devait comporter une date de péremption ou d'emballage, meme les légumes. Ou ailleurs ?

doutes sur la qualité et la fraicheur des produits
GT -> "c¹est de la gestion de stock et un autre magasin qui gèrera mieux ses stocks (si c¹sst possible ) proposera des produits à DLC restante plus longue et de ce fait aura un avantage concurrentiel. ça n¹a rien à voir avec la sécurité du produit."
---
VT: non, l'avantage concurrentiel sur la gestion de stocks ne tient pas : vu que le magasin n'a pas vraiment de concurrents dans le quartier, déja parce que c'est un supermarché, et aussi au niveau des produits, il n'y a pas (ou peu) d'épiceries, bouchers ou poissonniers de qualité pour le concurrencer, au moins sur les produits frais. Ici l'avantage concurrentiel c'est la taille, la reputation de la chaine ... et tout simplement, le fait qu'il n'y ai pas vraiment de concurrence (excepté le picard) à moins de prendre le métro.

Et de plus la gestion de stock, ainsi qu'une anticipation correcte sur les achats à faire, sont des éléments de bonne gestion d'un magasin, et dans les autres, visiblement ca pose moins de problèmes. Il y a bien un lien entre la gestion des stocks et la fraicheur des produits.

.... lorsque la chaine du froid n'est pas respectée ...
GT- > "Là par contre, vous et moi, n¹avons aucune information sur ce point"
---
VT : oui, exact, c'est le point le plus important . c'est pour cela que j'ai écris aux services vétérinaires.


GT "Quant aux pastilles sensées révéler une rupture de la chaîne du froid sont-elles aptes à intégrer le temps de rupture ?"
---
VT : je ne sais pas. Mais si vous oubliez votre salade quelques heures hors du frigo, le centre ne vire pas au noir. De plus il se trouve que c'est le magasin lui-meme qui a instauré ce système, notamment pour garantir les produits aupres du consommateur.

GT : "mais il faut reconnaître que les industriels de l¹agro-alimentaire et la distribution font de gros efforts pour garantir la chaîne du froid."
---
VT : Bien sur, et c'est bien parce que je suis confiante dans les efforts et investissements faits dans l'agro alimentaire en martière d'hygiène que je je consomme leurs produits, et que je n'apprécie pas du tout quand des produits a priori tres fiables ont un aspect douteux à l'étal du distributeur final.

"Que faire ?"
GT ->Vous approvisionner en vente directe auprès du producteur, si ça peut vous rassurer.
---
VT : ...

Cordialement, Valérie.

 

valerie tartare Wed, 10 Aug 2005 18:06:24 +0200

Bonjour, ma remarque était maladroite, ma critique exagérée, j'aurais pu en faire l'économie. Mais je maintiens que le comportement de la personne que j'ai eue au téléphone était malvenu de la part d'une personne sensée renseigner des consommateurs. L'attitude qui vise à dire sans vraiment avoir écouté, "c'est de votre faute si vos produits ont l'air avariés, fallait pas les acheter", puis "ah mais c'est rencore de votre faute, parce qu'on ne doit pas acheter un produit sous emballage opaque" me parait totalement déplacée : je n'ai pas tréléphoné pour qu"'on me fasse la morale, mais pour un renseignement auprès d'une association de consommateurs. Ce n'est pas une question de connaissances,
mais de comportement et de sens de l'écoute.
Pour le reste, je ne savais pas que c'étaient des benevoles, je vous rejoins tout à fait et suis tres favorable aux associations de consommateurs.

Bonne journée

 

Serge CHEMINADE Thu, 11 Aug 2005 14:53:13 +0200

J'ai reçu ce message en deux exemplaires. (1 en direct - 1 via la liste hygiène). J'interviens peu sur la liste hygiène mais je lis les messages.

J'ai donc bien vu d'autres messages critiques sur les associations de consommateurs notamment sur la viande de veau mais je ne suis pas intervenu.

Je me demandais où vous vouliez en venir.

En matière de législation ce ne sont pas les associations de consommateurs qui créent les lois mais les politiques. Il n'y a pas à ma connaissance un paragraphe dans la constitution française ou européenne (celle qui a été refusée en France) qui indique que les associations de consommateurs peuvent obliger les élus à voter des lois ou qui permettent aux associations de consommateurs de refuser des lois votées par les élus.

Les associations de consommateurs sont malgré tout à l'origine de lois ou de règlement tant au niveau français qu' européen.

Cela fait longtemps que des organisations de consommateurs sont organisées au niveau européen et au niveau mondial. Au niveau mondial elles ont demandé depuis longtemps à siéger à l'OMC.

Les échanges d'informations internationales entre les associations de consommateurs ont permis de poursuivre certaines entreprises qui agissaient depuis un pays étranger espérant justement éviter les poursuites.

En Europe la réglementation est de moins en moins nationale et des associations de consommateurs ont compris qu'il fallait agir au niveau européen . Elles sont réunies au sein du Bureau Européen des Unions de Consommateurs (BEUC). Le BEUC existe depuis 1962.

http://www.beuc.org/Content/Default.asp?PageID=149&LanguageCode=FR

http://www.beuc.org/Content/Default.asp?PageID=184

http://www.eurafedac.com/fedesite2000/pFEDEE/FEDET0024.html

Au niveau mondial des associations de consommateurs sont regroupées au sein de Consumers International

http://www.consumersinternational.org/HomePage.asp?NodeID=89645

Je n'ai pas compris l'intérêt des liens fournis, il me semble qu'il y a des confusions entre associations de consommateurs et d'autres structures mais je veux bien lire ;-)


Bertrand CARLIER Thu, 11 Aug 2005 15:57:46 +0200

les liens fournis sont en effet très généralistes et abordent bien des aspects de l'audit. Sur cette liste on évoque trop souvent que l'audit des structures privées. Ces liens abordent les autres facettes.

Mais vous avez raison, j'ai quelques griefs à l'encontre des associations de consommateurs, car, il me semble, qu'elles n'ont pas, pour ce que j'ai pu en voir, su s'adapter aux nouveaux modes de communication et cela me semble un problème à régler rapidement. Le texte concernant la viande de veau m'a
profondément choqué.
http://www.quechoisir.org/Article.jsp;jsessionid=73285513934B966C16D3AFD7059C1ED6.tomcat-1?id=Ressources:Articles:375E4C041611475CC125701C002E2F57&categorie=NoeudPClassement:DB3D42ADA5C85C65C1256F0100348FFC&catcss=ALI104

Ce n'est pas un sujet simple, mais jeter l'opprobre sur un des acteurs de la chaine de cette manière, n'est, il me semble, jamais la bonne solution.

Merci pour vos liens, ils indiquent qu'il existe une structure européenne représentative. J'ai cherché le dossier veau mais visiblement, je n'ai pas votre expérience, vous pourriez l'indiquer.

Il me semble que l'expression "viande de veau " n'a pas la même signification dans les différentes cultures européennes et que la représentation européenne des consommateurs a ou pourrait présenter ce type de dossier dans ces différents aspects.

 


MERCREDI 07 SEPTEMBRE 2005 


AgBioForum Volume 4 // Number 3 & 4 // Article 5 Communication Of Food-Related Risks
http://www.agbioforum.org/v4n34/v4n34a05-powell.htm

 
MERCREDI 12 OCTOBRE 2005


OULALA.NET 11/10/05 Y a-t-il un psychanalyste dans la salle ? LES SOCIÉTÉS AUSSI ONT DES NÉVROSES. LE CAS DES SCANDALES SANITAIRES
http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=1957


Serge Cheminade Thu, 1 Dec 2005 17:24:39 +0100

Ce qui me paraît important ce n'est pas de savoir combien les français consomment de poissons en moyenne mais d'informer ceux qui pourraient en consommer trop. Je vais faire une information sur mon site en sachant que je toucherais qu'une toute petite partie des consommateurs. Mon portail a enregistré 6558 visites par jour en moyenne pour novembre. Pour certains cela peut représenter beaucoup mais par rapport à la population française c'est très
peu.

Ce qui me paraît être également important c'est de savoir combien de personnes ont eu des problèmes suites à une ingestion trop importante de méthylmercure soit par eux-même, soit par leur mère.

Mais, Bertrand l'a maintes fois souligné, l'accès aux informations n'est pas facile. De plus, la plupart du temps elles n'existent pas. Parfois c'est plus qu'un manque d'information auquel il faut faire face mais à de la désinformation. Exemple: le gouvernement français a inventé les premiers nuages intelligents. Ceux qui, en provenance de Tchernobyl, reconnaissaient la frontière française et ne la dépassaient pas.

Pour ma part j'essais de donner un maximum d'informations en matière de nutrition sur mon portail. Pour qu'elles soient vues par un maximum de personnes j'ai mis en place des services pour fidéliser les visiteurs. Il est ainsi possible de mettre et de voir, gratuitement, pour chaque commune de France des informations et des liens. (sur les communes, les associations, les restaurants, les lieux touristiques, les hôtels, les chambres d'hôtes, les locations de vacance, les spectacles, les loisirs...) Pour en savoir plus
http://www.orvinfait.fr/association.html

Ce service devrait intéresser les restaurateurs présents sur la liste et peut être Bertrand pour la méthode que j'ai mise en place.

Avec la méthode utilisée les internautes peuvent mettre des informations et ces informations peuvent être aussi supprimées par ceux qui les ont mises. Avec des outils de recherche j'essais de rendre l'information sur les communes facilement accessible.

J'ai bien vu le message de Bertrand suggérant la création d'un site de style Wiki sur les problèmes de sécurité alimentaire. Ce que je fais est également une forme de site où beaucoup peuvent intervenir.

En ce qui concerne le collectif, la liste Hygiène en constitue aussi un exemple, d'une autre forme. Pour animer cette liste et pour qu'un grand nombre de personnes puissent accéder aux informations échangées sur le forum Bruno Peiffer apporte un immense travail que j'admire. Son travail constitue aujourd'hui une référence pour de nombreux internautes. Il est toujours possible de faire mieux. Mais les journées n'ont que vingt quatre heures pour tout le monde, y compris pour les meilleurs.

MERCREDI 07 DECEMBRE 2005

PASSEPORT SANTE 07/12/05 Une indigestion d'information sur l'alimentation
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2005120600



VENDREDI 23 DECEMBRE 2005


SENAT 22/12/05 Au sommaire:

Question écrite n° 20308 Droits de recours des administrés en cas de non-respect par la CADA du délai d'un mois
http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ051120308



DIMANCHE 05 MARS 2006


Rapport au Parlement 2003
La politique linguistique conduite au niveau national
L'information des consommateurs
http://www.culture.gouv.fr/culture/dglf/rapport/2003/Premiere_partie_I.htm



VENDREDI 10 MARS 2006


JO SENAT 09/03/06 Au sommaire:

Question écrite n° 21612 Introduction de l'action de groupe en droit français
http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ060221612




DIMANCHE 20 AOUT 2006


"Santé Publique" n°3 - 1999 Au sommaire:
Accès à l'information en santé publique par Internet
http://www.sfsp.info/sfsp/index.php?page=numeros_revue&annee=1999&numero=3&PHPSESSID=1832da040ffcc83f3f82473a82d68705




MARDI 22 AOUT 2006


DOCUMENTATION FRANCAISE 21/08/06 Rapport d'activité 2005 de la Commission d'accès aux documents administratifs
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/064000501/index.shtml

Au sommaire:
Comment se répartit l'activité de la CADA ?
Quelle est l'origine des saisines ?
Quels sont les avis rendus par la CADA ?
Quelles sont les suites réservées aux avis de la CADA ?
Quels sont les délais de traitement ?

Le régime général d'accès aux documents administratifs
L'accès à l'information en matière d'environnement
La réutilisation des informations publiques
La CADA est dotée d'un pouvoir de sanction



MARDI 12 DECEMBRE 2006


CNC FRANCE OCT/NOV/DEC 2006 OFFICIEL DE LA CONCHYLICULTURE. Au sommaire:
L'évolution du comportement des Français face aux crises alimentaires
http://www.cnc-france.com/maj/publications/documents/Officiel74.pdf


MERCREDI 03 JANVIER 2007


LA CUISINE COLLECTIVE JANV 2007 La protection des consommateurs
http://www.la-cuisine-collective.fr/dossier/haccp/articles.asp?id=115



MERCREDI 17 JANVIER 2007


MAG CULTURES AVRIL 2006 SOCIÉTÉ - Au sommaire:
Le consommateur, cet inconnu
Point de vue - COMMUNICATION DE CRISE rémi mer : « se montrer conscient du danger »
La parole à... corinne lepage, présidente de cap 21, ancienne ministre de l'environnement
http://www.le-mag.fr/archives/accueil-15.html



listesld Mercredi 21. Février 2007  12:37

atelierduvieuxpuits wrote:

> J'attendais quelques réactions qui ne sont point venues...
> Donc, il me semblait que le discours sur "le peuple qui ne peut
> comprendre", "qui doit être dirigé, tranquillement et discrètement,
> dans le bien du pays, donc du peuple" appartenait à une époque
> révolue, à un temps où l'on confondait Afrique et terrains de chasse,
> tiers-monde et matières premières occidentales.
> Il me semblait qu'infantiliser ceux qui portent constitutionnelement
> le nom de citoyens entrainait la séparation de la nation, une et
> indivisible, en deux mondes, le monde de ceux qui agissent parce
> qu'ils ont le pouvoir et donc, de facto, si l'on suit le
> raisonnement, le savoir-faire, et le monde des enfants, ceux qui ont
> tant à apprendre qu'il ne faut leur donner que ce qu'ils peuvent ou
> pourraient (et la nuance politique dans le vrai sens du terme est là
> !) réellement apprendre et maitriser.
> Normal donc que le monde de la recherche, celui qui nomme aussi, se
> sente perdu et non-reconnu, coincé entre "élites" et "plèbe" et trop
> souvent, se sentent outre-monde !


Bonjour,

Comme dirait Arnaud Montebourg, le seul défaut de la liste, c'est son succès et il y a trop de messages pour ne pas régulièrement louper des discussions intéressantes. J'admire ceux qui postent quotidiennement car personnellement, j'en serais incapable, faute de temps !

Ce sujet du consommateur m'intéresse mais j'avoue ne pas être spécialiste, donc j'espère que ce message ne fera pas trop "café du commerce".

Tout d'abord, il me semble difficile de parler de consommateur dans son ensemble. Les spécialistes de marketing parlent de segmentation de marché, je ne sais pas si c'est le terme qui s'applique en la matière, mais on est tout de même en droit d'attendre quelques différences de comportement d'un individu à l'autre. Ainsi un consommateur militant de
produit bio risque d'être plus exigeant par rapport à l'accessibilité aux informations techniques qu'un consommateur "lambda".

Pour autant, il me semble que quelque soit le type de consommateur, l'acte de consommation repose, avec des équilibres légèrement différents sur un trépied:

- tout le monde considère que manger un produit sain est un droit
- tout le monde fait, dans une certaine mesure, confiance à des intermédiaires
- tout le monde veut, dans une certaine mesure, se faire sa propre opinion en ayant accès à l'information brute (on ne fait pas confiance donc on veut se faire sa propre opinion)

J'ai posé récemment une question à Bertrand et je le remercie d'y avoir répondu. Je copie-colle la question et sa réponse:

----------------------------------------------------------
"Vous par exemple, Bertrand, qu'est-ce qui vous rassurerait (question TRES sérieuse: le sujet m'intéresse, et elle peut s'adresser à d'autres colistiers) ?"

*_ 1) l'accès pour tous_*

- aux documents d'engagement des acteurs, donc par exemple aux guides de bonnes pratiques rédigés tel qu'ils se doivent, c'est à dire notamment avec un vocabulaire défini, précis et accessible.

- aux documents législatifs concernant les problèmes transversaux, exemple événement

- l'accès aux bases de connaissances ( data base) dépersonnalisées qui se doivent d'être alimenté par respect des dépenses par toutes les analyses effectuées par tous . Ceci me semble obligatoire , car les événements sont désormais accessibles, deux exemples:

http://hisz.rsoe.hu/alertmap/woalert_read.php?id=9890&lang=eng

http://hisz.rsoe.hu/alertmap/woalert_read.php?id=9841&lang=eng


*_ 2) l'accès réservé _*

aux data bases complètes pour les personnels autorisés des agences chargées de la démarche risk assement et risk communication des pays utilisateurs des produits.
----------------------------------------------------------

Je trouve cette réponse extrêmement intéressante, car elle balaie les deux aspects. Par le point 1, Bertrand s'affirme clairement comme un consommateur exigeant, qui n'est rassuré que s'il a un accès direct à unniveau d'information détaillé. Malgré cela, le fait qu'il mentionne le deuxième point, montre que même les consommateurs les plus exigeants
acceptent, dans une certaine mesure au moins, de faire confiance dans certains domaines à des intermédiaires, en l'occurence, "les personnels autorisés des agences".

Si je prends mon exemple personnel (puisque je pense avoir un profil de consommateur assez radicalement différent de celui de Bertrand), je suis dans la logique inverse. Je fais beaucoup confiance et me contente d'un niveau d'information personnel limité dès lors que j'ai confiance.

Lorsque je suis en brousse et que j'ai soif, si les villageois me disent que je peux boire l'eau qu'ils me proposent, je la bois sans hésitation et jusqu'à présent, je n'ai jamais été malade, que ce soit en Afrique,en Amazonie ou maintenant aux Philippines. Idem, la semaine dernière (j'habite Manille), j'ai mangé des huîtres crues. On peut penser que cet
acte est particulièrement risqué dans un pays comme les Philippines, d'autant que je ne travaille pas sur ce sujet et que donc je n'ai pas accès à l'information, mais un collègue philippin m'ayant dit que je pouvais y aller sans risque dans ce restaurant, je me suis régalé et je suis toujours en pleine forme.

Si je prends ces deux exemples, c'est parce qu'il me semble que l'ensemble des différents types de consommateurs est finalement quelque part entre ces deux extrêmes. Pendant longtemps (et c'est encore le cas dans de nombreuses régions du monde), les gens ont fait confiance aux pouvoirs publics pour assurer leur sûreté alimentaire. Ça n'est pas une
question de "bas peuple qui ne peut pas comprendre", mais simplement une question de confiance: si je fais confiance aux villageois qui m'accueillent car je pense qu'ils ne me feront pas boire de l'eau qui risque de me rendre malade, pourquoi irais-je leur demander des analyses et un certificat de potabilité de l'eau de leur puit ? J'estime prendre
un risque contrôlé parce que j'ai confiance.

Malheureusement, les différentes crises ont fait que les gens ont réalisé qu'ils ne pouvaient plus faire confiance donc ils se sont mis à douter et à vouloir avoir accès eux même à l'information. C'est bien légitime, et les pouvoirs publics n'ont pas le choix, ils doivent jouer la carte de la transparence et donner un large accès à l'information car sinon, ils seront suspectés de vouloir dissimuler des informations génantes. Malheureusement, si cela est est indispensable, ça ne sera jamais suffisant car tant qu'un niveau de confiance minimal n'aura pas été restauré, ce sera la course en avant :

Quel que soit le degré de détail et de transparence, quelqu'un qui n'a pas confiance ne sera jamais satisfait.

C'est pour cela qu'en dehors de la mise à disposition des informations que les consommateurs les plus exigeants réclament, il faut aussi réfléchir (et j'essaie de le faire à mon niveau) à ce problème de la confiance. Une des voies pour y parvenir est de réfléchir au rôle de l'intermédiation marchande. En gros et de manière très schématique, si je prends n'importe quelle personne de cette liste et que je l'emmène par exemple sur une ferme de pangasius vietnamienne, je suis sûr qu'elle aura confiance dans le produit, non pas parce qu'elle aura vu les résultats d'analyses ou je ne sais quoi, mais parce qu'elle aura été au contact direct du producteur, le connaîtra, l'aura vu, touché etc...
C'est le principe des marchés: on fait toujours plus confiance quand on peut acheter directement à un petit producteur qu'on connaît bien que quand le même produit passe par une chaîne d'intermédiaires qui le rend anonyme (ce qui est parfois paradoxal sur le plan hygiénique). Par contre, si vous allez chez votre poissonnier et qu'il est incapable de vous donner la moindre information sur le panga, vous n'aurez pas confiance.

Donc, en plus de la mise à disposition des données brutes, il faut aussi que les intermédiaires véhiculent une image exacte des produits. Ça ne devrait pas être au consommateur d'aller chercher l'information, l'information juste devrait pouvoir lui être délivrée automatiquement (et il n'est pas question ici d'infantilisation, bien au contraire).
Quelque part, il est inadmissible qu'aujourd'hui un poissonnier (dans le cas du pangasius, mais c'est valable pour les autres produits) ne soit pas capable de nous donner des informations exactes sur les produits qu'il commercialise car en fin de compte, ce sont les commerçants qui sont en première ligne. Mais eux dépendent aussi des informations
(réprésentations pour employer un vocabulaire sociologique) que leurs fournisseurs vont communiquer/véhiculer etc. Il y a donc une véritable réflexion de fond à conduire.

Il n'est donc pas question à mon avis de "bas peuple qui ne peut pas comprendre ou doit être dirigé tranquillement" ou "d'infantiliser les citoyens", mais je considère que pouvoir consommer les yeux fermés, c'est aussi un luxe qu'à titre personnel, j'ai envie de pouvoir me payer.

Une société évoluée, c'est aussi une société où le citoyen n'est pas obligé de se défendre tout seul mais où il sait qu'il peut faire confiance à d'autres pour défendre ses intérêts, sans pour autant être infantilisé.

Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas donner les informations que les gens plus exigeants réclament à juste titre, mais moi, je veux pouvoir consommer tranquille sans devoir monter moi même un dossier sanitaire complet à chaque fois que je consomme un nouveau produit.

qualiseb Mercredi 21. Février 2007  15:40

Je suis tout à fait d'accord et "je veux pouvoir consommer tranquille sans devoir monter moi même un dossier sanitaire complet à chaque fois que je consomme un nouveau produit." peut s'appliquer aussi aux différents produits existants...

Etant souvent direct/rapide et peut être maladroit dans mes propos, je reste sur le fait qu'une communication "trop technique" peut amener une incompréhension, donc un manque de confiance...

De plus, on ne se refait pas, déjà il y a une quinzaine d'année les enseignant en filière viande expliquaient que "l'image" dans la viande était très importante et que le consommateur n'aimerais pas forcement voir l'œil du pauvre animal, qu'il allait manger, juste avant qu'il soit tué, saigné, dépecé, éviscéré...le tout dans une ambiance plutôt sanglante...

Mais si certains pense que "TOUS" peuvent "TOUT" comprendre et assimiler aussi bien et aussi facilement qu'eux...c'est peut être ces personnes qui sont les "élites", voir pire...il faut savoir être juste. Que des consommateurs ne s'intéresse tout simplement pas à toutes ces questions, ne veut pas dire qu'ils sont "abrutis", mais seulement "différents", "indifférents"...il faut de tous pour faire un monde...

 

Serge Cheminade Mercredi 21. Février 2007  22:51


Un certain nombre de consommateurs ont besoin d'informations et à mon avis ils sont très nombreux.

Il faut bien voir le succès des guides comme Michelin ou Parker. Perdre une étoile au guide Michelin c'est perdre de la clientèle. Etre bien noté par Parker c'est la possibilité de bien vendre son vin.

J'ai été pendant plusieurs années un bénévole actif d'une association nationale de consommateurs. Aujourd'hui je suis rédacteur d'un portail Internet qui a un dossier sur la diététique et un logiciel de diététique en ligne. (Des internautes peuvent également publier leurs recettes de cuisine et se faire connaître) S'il est vrai que la plupart des consommateurs ont besoin d'acheter en confiance, que la plupart d'entre eux ne liront jamais des informations techniques, d'autres en ont besoin. Il en est ainsi des associations de consommateurs, des éditeurs de portail comme moi et de bien d'autres personnes.

J'interviens peu sur le forum (pas assez de temps) mais je lis la plupart des messages. Beaucoup des intervenants sont des professionnels et Bertrand pollue (pour certains) et agace parfois en posant toujours des questions qui tournent toujours autour de "où trouver les informations gratuitement sur Internet". En plus il veut des définitions, des datas... Si parfois des réponses sont apportées c'est loin d'être toujours le cas.

La dernière fois que j'ai recherché les cahiers des charges de tel ou tel Label Rouge je ne les ai pas trouvés. Il est bien connu que l'on ne peut pas être juge et partie pourtant les professionnels de l'agroalimentaire jugent souvent ce qui est bon pour les consommateurs. Ils jugent leurs produits bons car ils disent avoir mis tout en place pour qu'ils soient bons. Le problème c'est que certains professionnels sont de véritables voyous. Comment les professionnels peuvent-ils assurer la confiance des consommateurs s'ils ne communiquent pas complètement, s'ils ne sont pas transparents? Comment peut-on reprocher aux consommateurs d'acheter aux prix les plus bas s'ils ne savent pas ce qu'un produit plus cher leur apporte de plus ? (Celui qui obtient trois étoiles au Michelin est content, il aura plus de clients mais un trois étoiles ne propose pas des prix bas.)

J'ai bien lu la dernière discussion sur les OGM. Je sais bien que d'après certains plus de soixante dix pour cent des consommateurs en ont peur. Cependant c'est sans doute qu'ils ne savent pas ce que c'est. Pour ma part je préfère manger des OGM sains que des produits bios remplis de mycotoxines. (Je ne dis pas pour autant que tous les produits bios en ont et que les OGM n'en ont jamais). Bien sûr j'informe de mes choix sur mon portail. (plus de treize mille visites par jour).

Les consommateurs doivent être libres de choisir et on ne peut choisir que si l'on sait. J'ai été l'un de ceux qui se sont battus pour qu'il soit indiqué la présence d'OGM. C'est tout à fait différent que de se battre pour l'interdiction de vendre ou de cultiver des OGM, surtout que des sorciers modernes s'appuient le plus souvent sur la force ou la désinformation quand ce n'est pas les deux. Certains pratiquent l'arrachage de récoltes agricoles légales sans le moindre argument scientifique tangible. Pour la désinformation il y en a eu un exemple de citer récemment sur cette liste. De plus lorsque les faucheurs d'OGM sont condamnés ce n'est pas parce que la justice défend les OGM mais que les lois françaises protègent les récoltes agricoles, contrairement à ce que certains voudraient faire croire, pour avoir le statut de victimes alors que ce sont des hors-la-loi.

Les dictateurs savent toujours mieux que les autres. Les autres n'ont pas besoin de savoir ou de dire leurs avis puisque les dictateurs savent pour les autres. Cela est vrai pour les OGM et pour tout y compris ce que nous mangeons. C'est vrai qu'il y a un vrai fossé entre ceux qui savent et ceux qui ne savent pas mais avec Internet ce fossé se comble. Internet est un excellent moyen de communication mais sans définitions partagées il n'est pas possible de se comprendre. Le web sémantique se construit aujourd'hui voir par exemple : http://www.urfist.cict.fr/lettres/lettre28/lettre28-22.html .

Dans le texte du lien vous noterez la phrase suivante : "Un petit groupe peut innover de façon rapide et cohérente, mais cette situation crée une sous-culture dont les concepts ne sont pas compris par les autres." Est-ce ce que vous souhaitez faire avec la liste hygiène ou souhaitez vous être plus ouvert comme le propose Bertrand?



Jean Claude DAUDY Jeudi 22. Février 2007  9:09

Le 2007-02-22 - 07:55:59
Correspondance à : ,

Bonjour,
.. La dernière fois que j'ai recherché les cahiers des charges de tel ou tel Label Rouge je ne les ai pas trouvés.
..Les consommateurs doivent être libres de choisir et on ne peut choisir que si l'on sait.
.. Les dictateurs savent toujours mieux que les autres.
.. Que des consommateurs ne s'intéresse tout simplement pas à toutes ces questions, ne veut pas dire qu'ils sont abrutis
.. Un certain nombre de consommateurs ont besoin d'informations et à mon avis ils sont très nombreux.
... etc.
==
Q'un certain nombre de consommateurs ne recherche pas l'info, ou fasse confiance, ne veut pas dire non plus qu'ils n'ont plus droit à l'information.
Ce qui repose le problème de l'accessibilité à l'information.
Et le problème de la liberté d'accès à cette information.
Ce dont se servent les représentants de certains pouvoirs pas forcément publics.
Estimant que si l'on n'accède pas à l'information, pas manque d'intéret, par manque de temps, par excès de confiance,
ON RENONCE A SON DROIT A L'INFORMATION.
Et c'est aussi là où ces personnes se comportent comme des voyous.
Parce qu'ensuite, pour ceux qui veulent y avoir accès, c'est souvent un parcours du combattant épouvantable.
Quand en plus certains fonctionnaires se font embobiner par ces voyous, ......
(clin d'oeil à "qui saura" !)
L'information est quasi impossible à obtenir.
A titre d'exemple, il m'a fallu plus d'un an pour obtenir un texte dont je connaissais l'existence, et que les representants professionnels de mon département (CM) me cachaient.
Je me suis adressé à quelques inscrits de la liste, contacté de nombreuses administrations, de plusieurs départements et un ministère pour avoir finalement l'info de la préfecture d'Orléans.
Sortant de mon cas particulier - qui ne l'est pas tant que ca - est ce normal que le consommateur lambda puisse avoir tant de difficulté pour avoir accès à SES droits ?
(Je sais que vous sourirez de mes déboires quand vous lirez ces lignes, Mr "qui saura", mais rappelez vous que vous êtes au service du consommateur et de la "sécurité alimentaire" alors si vous voulez savoir qui est le voyou, vous avez mon tel ...)
- Enfin, l'accès à l'info est une chose, est elle objective, scientifique ?
è ou est ce un simple discours marketing ?
==
C'est cynique, mais je ne crois pas que l'époque ou le peuple qui ne peut comprendre, qui doit être dirigé, tranquillement et discrètement, soit une époque révolue.
Les règles ont simplement changé, elles sont devenues plus subtiles.

 

listesld Jeudi 22. Février 2007  16:16

Je ne réponds pas aux autres messages de Bertrand, Orvinfait et qualiseb, car je suis d'accord avec ces contributions de qualité.

D'ailleurs, je pense que les points de vue sont totalement compatibles malgré les apparences (surtout si on prend soin de gommer le vocabulaire parfois un peu abrupte). Par contre, je suis intrigué par l'énigme de Mr "qui saura"...

> Q'un certain nombre de consommateurs ne recherche pas l'info, ou fasse
> confiance, ne veut pas dire non plus qu'ils n'ont plus droit à
> l'information.

Bien sûr que non, je suis d'accord avec ce que vous écrivez, mais personne ne semble avoir affirmé le contraire (certains messages ont pu m'échapper).

> Et c'est aussi là où ces personnes se comportent comme des voyous.

> Parce qu'ensuite, pour ceux qui veulent y avoir accès, c'est souvent un
> parcours du combattant épouvantable. Quand en plus certains fonctionnaires
> se font embobiner par ces voyous, ...... (clin d'oeil à "qui saura" !)

> (Je sais que vous sourirez de mes déboires quand vous lirez ces lignes, Mr
> "qui saura", mais rappelez vous que vous êtes au service du consommateur
> et de la "sécurité alimentaire" alors si vous voulez savoir qui est le
> voyou, vous avez mon tel ...)

N'ayant pas souri, n'étant pas fonctionnaire, ne voyant pas par quels voyous je pourrais être embobiné, et n'étant ni au service du consommateur, ni au service de la sécurité alimentaire, a priori ça n'est pas moi, même si à un moment, ça m'a effleuré l'esprit ! Mais qui cela peut-il bien être ?

Manifestement vous avez sur le coeur un contentieux avec des "voyous". Je veux juste dire que j'ai moi aussi eu des contentieux (comme tout le monde probablement). Ces expériences peuvent être utiles pour réfléchir, mais il faut aussi arriver à les dépasser et ne pas mettre tout le monde dans le même panier surtout si on veut construire quelque chose d'utile à tous.

Vous savez, la confiance c'est parfois bien, dans les deux sens. Rien à voir avec l'hygiène mais j'étais en Australie à Noël. J'ai retiré de l'argent dans un distributeur. Il manquait un gros billet. Je me suis présenté au guichet, et alors que je n'avais aucune preuve de mes affirmations, la guichettière m'a tendu le billet qui manquait sans même discuter et avec un grand sourire. C'est pas mal quand les relations entre les différents acteurs sont basées sur la confiance: c'est du gagnant-gagnant et ça évite les frustrations, mais il faut évidemment que chacun y mette du sien.

> - Enfin, l'accès à l'info est une chose, est elle objective, scientifique
> ? è ou est ce un simple discours marketing ?

La science peut-elle être objective ? :-D

LUNDI 02 AVRIL 2007

INIST CNRS 01/04/07 Inquiètude des français face aux risques sanitaires
OBSERVATOIRE DES RISQUES SANITAIRES- Risques et crises sanitaires : mémoire, perception et confiance des Français
Présentation des résultats de la seconde vague - 1er févier 2007
http://grippeaviaire.veille.inist.fr/breve.php3?id_breve=329



LUNDI 30 JUILLET 2007

DOCUMENTATION FRANCAISE - Rapport d'activité 2006 de la Commission d'accès
aux documents administratifs
L'activité de la CADA en chiffres
Application de la loi du 17 juillet 1978 : aspects contentieux

Temps forts de l'année 2006
La nouvelle loi CADA et les règles en matière d'environnement : bilan d'un an d'application
Quelques thèmes particuliers en matière d'accès aux documents

Sélection des principaux avis et conseils
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/074000484/somm.shtml


MARDI 11 SEPTEMBRE 2007

FRANCE

TEMOIGNAGES 10/09/07 Une charte pour redonner confiance aux consommateurs
http://www.temoignages.re/article.php3?id_article=24634


VENDREDI 19 OCTOBRE 2007

MAPAR 18/10/07 Michel Barnier dévoile les résultats du 2ème baromètre de l'alimentation
http://agriculture.gouv.fr/sections/presse/communiques/michel-barnier-devoile

MAPAR 18/10/07 Synthèse du Baromètre des perceptions alimentaires 2007
http://agriculture.gouv.fr/sections/presse/dossiers-presse/synthese-du-barometre


DIMANCHE 21 OCTOBRE 2007

South African association for food science & technology
Abstracts: Congress 2005
http://www.saafost.org.za/library/abstracts/abstractscongress2005/
Au sommaire notamment:
A South African Study of Consumers' Perceptions of Food Labels and Relevance to Purchasing Behaviour.
Hacks v Lab-Rats: Who's at fault for consumer confusion?
http://www.saafost.org.za/library/articlesofinterest/article1


DIMANCHE 28 OCTOBRE 2007

AGROBIOSCIENCES - Les actes de la 12ème Université d'Eté de l'Innovation rurale. Marciac 2006
Communication et Agriculture : « Il manque un espace de médiation entre la sécheresse du réel et le lieu des affects » Par Eric Bardon. Ministère de l'Agriculture et de la Pêche.
http://www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=2208


JEUDI 08 NOVEMBRE 2007

FRANCE

VACANCES PRATIQUES 06/11/07 L'anxiété sanitaire des Français
http://www.vacancespratiques.net/L-anxiete-sanitaire-des-Francais_a7352.html


VENDREDI 16 NOVEMBRE 2007

BFR 15/11/07 Communication is vital in managing food risk, BfR
http://www.nutraingredients.com/news/ng.asp?n=81390-bfr-efsa-risk


JEUDI 22 NOVEMBRE 2007

20MINUTES 22/11/07 La conso de viande survit aux crises sanitaires
http://www.20minutes.fr/article/195814/Economie-La-conso-de-viande-survit-aux-crises-sanitaires.php


VENDREDI 23 NOVEMBRE 2007

INSEE NOV 2007 Les crises sanitaires dans la filière viande - Impact fort à court terme, plus limité à long terme
http://www.insee.fr/fr/ffc/ficdoc_frame.asp?doc_id=2123
(source Yves LE PAPE ; liste ESB)




atelierduvieuxpuits Vendredi 11. Janvier 2008 23:15

L'idée d'un gbph 'consommateurs' est intéressante.

Pourquoi ne pas envisager un courrier (avec 'magnets' pour poser sur le frigo) à l'ensemble des foyers rappelant ou enseignant les régles d'hygiène de base (mains, cuisine, froid...) dont le coût serait couvert dans l'année par les économies réalisées en terme de sécurité sociale ?

Il suffit de regarder un peu ce qui se passe ailleurs...



qualiseb Samedi 12. Janvier 2008 0:36

Je pense qu'il faudrait même aller jusqu'à des campagnes TV ou internet, nos bons produits crus bien français vont disparaître les uns après les autres au nom de notre gestion "sociétale" du risque alimentaire...ou comment la "société" force les fabriquants et distributeurs à protéger les faibles tout en affaiblissant les forts, de façon à tendre vers un standard, un "concours" d'amélioration globale de l'espérance de vie à court et moyen terme, mais quand est'il de la gestion à long terme du "substrat" pour la race humaine que représente "DAME NATURE"...bizarrement, notre société se préoccupe de plus en plus du résultat "immédiat" au travers de la mise en place d'indicateurs en temps réels tout en "oubliant" le VRAI calcul du risque : "LA PROTECTION DE L'AVENIR DE LA RACE HUMAINE"=les bactéries sont nos amies ( même une ENORME partie de nous ), arrêtons la chasse aux sorcières...faisons en sorte que chaque être vivant ait sa juste place en ce monde...l'Homme, sans les bactéries ne peut pas exister, il ne peut pas non plus sélectionner lesquelles peuvent rester ou pas en ce monde...d'ailleurs, l'Homme invente des antibiotiques, des OGM, mince, elles mutent...le jeux du gendarme et du voleur...mais seule "DAME NATURE VAINCRA", bon j'arrête...mais quand même, lors de l'élaboration du paquet hygiène, la commission européenne avait prévue une tolérance de présence de Salmonella sur carcasse bovine et steak haché, nos chères gestionnaires du risque français en ont été scandalisé...c'est vrai que ces membres de la commission sont vraiment mauvais, irresponsable et ignare...en bref, il en reste une tolérance sur carcasse et une absence en viande hachée...reste plus qu'à mettre des ingénieurs agro en élevage et des chirurgiens en abattoir et en salle de découpe..ou un protocole de désinfection totale des viandes…super….n'oublions pas que la dose infectieuse de Salmonella est "un germe ingéré"...comme tous les pathogènes...bla, bla, bla…


O. Cerf Samedi 12. Janvier 2008 14:44
A message polémique, réponse polémique ! Ne vous formalisez pas, il n'y a rien de personnel dans ce qui suit.
"la dose infectieuse de Salmonella est "un germe ingéré"...comme tous les pathogènes...bla, bla, bla…"
A chaque cellule d'une espèce microbienne pathogène est associée une probabilité de provoquer un effet néfaste pour la santé. Cette probabilité peut être forte, ou faible, cela dépend de l'espèce microbienne. Au sein de l'espèce Salmonella enterica, la probabilité peut aller de forte à faible, selon les souches. Mais dans la majorité des cas elle est faible (mais beaucoup plus élevée que pour Listeria monocytogenes).
"La commission européenne avait prévu une tolérance de présence de Salmonella sur carcasse bovine et steak haché, nos chères gestionnaires du risque français en ont été scandalisé" :
Cette affirmation est pour le poins surprenante et ne correspond pas à ce que je connais ; à quel évènement précis faites-vous allusion ?
"les bactéries sont nos amies"
Ne serait-il pas plus prudent d'écrire "la majorité des bactéries sont nos amies, mais certaines sont de très dangereux ennemies" ?
"arrêtons la chasse aux sorcières...faisons en sorte que chaque être vivant ait sa juste place en ce monde"
Bien sûr, protégeons la diversité. D'ailleurs, il existe de nombreux conservatoires pour les bactéries : les collections de souche comme celles de l'ATCC ou de l'Institut Pasteur. Pour autant, faut-il baisser la garde contre les êtres vivants qui ne nous veulent pas que du bien ?


Bertrand CARLIER Samedi 12. Janvier 2008 14:57
merci,
j'ai eu un dia avec un des membres de cette liste, et je lui ai rapporté que les trois avant-derniers directeurs de la DGCCRF que j'ai entendu en public ont affirmé que:
" tous les aliments mis sur le marché sont sans danger. "
j'ai beaucoup apprécié sa réponse ( il se reconnaitra) :
alors pourquoi calculer le risque ?
sauf que l'AFSSA a été créée , notamment pour cela: initier la métrologie des dangers ???
amicalement
Bertrand
ps:
Philosophical Perspectives on Risk
http://www.infra.kth.se/~soh/PhilPerspRisk-text.pdf


qualiseb Samedi 12. Janvier 2008 16:13
Aucun problème, cela me parait parfois constructif, et j'ai pleine conscience d'être quelque peut caractériel...et que je ne fait qu'exprimer des avis personnel.
Pendant l'écriture du paquet hygiène et d'après ce que j'ai pu en savoir, la Commsission avait prévue cette tolérance de 1 présence sur 5 échantillons( en toute logique avec celle sur carcasse ) de façon globale. La DGAL ayant mis en avant que les français avait l'habitude de manger le steak haché "peut cuit" ( il y a aussi eu la "bataille" concernant la prise d'essai de 10g ou 25g...) la Commisssion à concéder de laisser le choix à chaque Etat membre d'appliquer ou non cette tolérance. Elle s'accompagne d'un marquage distinctif et réservé au marché nationale ( certainement pas ce que la Commission voulait, il me semble qu'elle tente plutôt de "faire l'europe" )
Cordialement
Laurent
PS : il me parait donc impossible aux industriels de garantir la mise sur le marché de viande hachée sans salmonelle ( le mettant forcément en port à faux avec les autorités )…mais l'industriel trouvera le moyen, tôt ou tard, l'adaptabilité fait partie de son métier. Mais à quel prix ? Il me paraissait plus raisonnable de prendre le temps de bien faire les choses, en impliquant fortement TOUT les acteurs, de la fourche à la fourchette…peut être QS. A QUAND « LE STEAK HACHE
AVEC UNE MENTION GARANTISSANT SA PRODUCTION A PARTIR DE VIANDE NON TRAITEE, NON DESINFECTEE… » Ou comme pour le fromage au lait cru, il ne restera plus que quelques irréductibles...sans avenir.
Filière lait / filière viande 10 ans d'écart...mais qui à raison ???
tant que le calcul du risque "acceptable" n'aura pas été réalisé par celui qui en à la charge, ont aura du mal à avancer...


bize_sandrine Mardi 8. Avril 2008 11:10
La CGAD a publié en 2007 un guide d'information du consommateur.
Ce guide est un outil à destination des professionnels afin de les aider à mieux informer leurs clients sur les produits alimentaires. Ce guide traite des informations obligatoires à fournir aux consommateurs en matière d'étiquetage, mais aussi des informations volontaires que peut apporter le professionnel. La partie volontaire du guide se base notamment sur les résultats d'une étude menée avec l'INC (Institut National de la Consommation) afin de mieux connaître les attentes des consommateurs.
Pour se procurer le guide :
http://www.lesmetiersdugout.fr/html/CGAD-Publications?PHPSESSID=91e0a7cf29be4649916077c821d4724b


LUNDI 17 MARS 2008

MAP 14/03/08 Emissions de CONSOMAG "spécial alimentation : les bons gestes
au quotidien" lauréates pour la France de la meilleure campagne
d'information des consommateurs
http://agriculture.gouv.fr/sections/presse/communiques/emissions-consomag



MARDI 01 AVRIL 2008

DGCCRF 31/03/08 Subventions allouées en 2007 aux 18 associations de consommateurs agréées
http://www.dgccrf.minefi.gouv.fr/associations/financement07.htm



LUNDI 07 AVRIL 2008

FRANCE

CTENDANCE 07/04/08 La sécurité alimentaire préoccupe de plus en plus les
Français
http://www.ctendance.com/article-11342.html



MERCREDI 09 JUILLET 2008

PASTEUR 27/06/08 Face aux crises sanitaires : les français, toujours inquiets, gagnent en maturité
http://www.pasteur.fr/ip/easysite/go/03b-00002a-01e/presse/communiques-de-presse/2008/observatoire-des-risques-sanitaires



MERCREDI 23 JUILLET 2008

CRA-W - Journée Porcs-Volailles 2007 - 17 octobre 2007
Au sommaire:
http://requasud.cra.wallonie.be/pubtech/jppv2007/?page=51
Image et Communication : Pourquoi? Pour qui? Comment?
La communication : de l'information aux attitudes (texte)
Viande de porc et de volaille : quelles sont les attentes des consommateurs ? (texte)
Communiquer et rétablir les vérités ! (texte)
Comment améliorer l'image et la visibilité de nos produits de volaille ? (texte)
Communiquer en temps de crise alimentaire. (texte)
Présentation de l'initiative « Cartes d'épandage » (texte)
L'image d'une filière en poulets de chair (texte)



CRA-W - 40 ans - Livre Blanc 2007
FUSAGx - CRA-W Gembloux
25 avril 2007 - Espace Senghor - Gembloux
La traçabilité dans les filières végétales : chemin parcouru et perspectives d'avenir
http://requasud.cra.wallonie.be/pubtech/lb2007/trace2007.php?page=51
Au sommaire:
Les consommateurs et la qualité différenciée des productions végétales
alimentaires



MERCREDI 06 AOUT 2008

DOCUMENTATION FRANCAISE 05/08/08 Commission d'accès aux documents
administratifs : rapport d'activité 2007
FRANCE. Commission d'accès aux documents administratifs. 2008-07
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/084000433/index.shtml



LUNDI 11 AOUT 2008

NESTLE JUILLET 2008 Une démarche globale tournée vers la satisfaction du consommateur et de l'utilisateur
http://www.nestleprofessional.com/france/fr/Insights/Nestle_Professional_s_engage/Pages/Demarche_globale_de_tracabilite.aspx



VENDREDI 22 AOUT 2008

ACTAPOL Issue 1 (2) 2002 Au sommaire:
http://www.food.actapol.net/volume1/issue2
ESTIMATION OF FOOD ADVERTISING IN PRESS



MARDI 21 OCTOBRE 2008

CREDOC OCT 2008 Synthèse de l'étude « ALIMENTATION, ENTRE TENSIONS
ECONOMIQUES ET EXIGENCES DES CONSOMMATEURS »
3ème édition des Entretiens de Rungis ’¶ 23 septembre 2008
http://www.credoc.fr/pdf/Sou/SyntheseCREDOCEntretiensdeRungis_sept2008.pdf



JEUDI 20 NOVEMBRE 2008

A PROPOS - AFSSA

Bulletin N°4 Septembre 2003. Au sommaire:
http://www.afssa.fr/Documents/APR-mg-aPropos4.pdf
Vers une baisse des peurs alimentaires ?


Bulletin N°19 Décembre 2007. Au sommaire:
http://www.afssa.fr/Documents/APR-mg-aPropos19.pdf
Associations de consommateurs : un dialogue qui s'enrichit



JEUDI 11 DECEMBRE 2008

New approaches to food-safety economics: overview and new research
directions
http://library.wur.nl/frontis/food_safety/index.html
Proceedings of the Frontis workshop on new approaches to food-safety
economics, Wageningen, the Netherlands 14 - 17 April 2002
Consumer health and welfare



luckybichounet Lundi, 29 Décembre 2008, 15h09mn 13s


L'IFS demande qu'une procédure soit mise en place pour l'écoute client et que celle ci soit évaluée pour la détermination des objectifs qualité.

Je n'arrive pas à comprendre ce qui est attendu.

Doit-on rédiger un processus "écoute client"? quel objectif peut-on attribuer (nombre de nouveaux clients?)?

Merci d'avance.


MYRIAM ELTAIEF Vendredi 2. Janvier 2009 10:37


bonjour; l'écoute client est une exigence de la norme 9001 version 2008, c'est sous forme d'une procédure ou tu decris les outils d'écoutes, l'analyse des suggestions ainsi que les actions entrprises pout les satisfaire, il faudra démontrer nos effort prises pour écoutere le cleint.


VENDREDI 02 OCTOBRE 2009

JO ASSEMBLEE NATIONALE 29/09/09 Au sommaire:
QE 57067 consommation - associations de consommateurs - représentativité.
réforme. perspectives
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-57067QE.htm



JO SENAT 01/10/09 Au sommaire:
Question écrite n° 09586 Devenir des associations de consommateurs
http://www.senat.fr/questions/base/2009/qSEQ090709586.html


MERCREDI 23 DECEMBRE 2009

JOUE 23/12/09 455e session plénière des 15 et 16 juillet 2009 Avis du Comité
économique social européen sur la «Proposition de directive du Parlement
européen et du Conseil relative aux droits des consommateurs» COM(2008) 614
— 2008/0196 (COD)
http://eur-lex.europa.eu/JOHtml.do?uri=OJ:C:2009:317:SOM:FR:HTML


MERCREDI 13 JANVIER 2010

Ethic Theory Moral Prac (2008) 11:61–72 Consumer Rights to Informed Choice
on the Food Market
http://www.springerlink.com/content/91174m5836207303/fulltext.pdf



VENDREDI 05 MARS 2010

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Les consommateurs doivent-ils devenir des auditeurs ?, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=6867



JEUDI 11 MARS 2010

DGCCRF - Baromètre des réclamations des consommateurs
Les résultats du second semestre 2009
http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/documentation/barometre/index.htm



CAHIER THEMATIQUE CGAAER - FEVRIER 2010 - L’alimentation dans tous ses états
http://agriculture.gouv.fr/sections/mediatheque/periodiques/aaer/cahier-thematique-aaer/downloadFile/FichierAttache_1_f0/cahier_thematique_aaer_volXII_alimentation.pdf?nocache=1267085429.48
Au sommaire:
L’information du consommateur


MERCREDI 02 JUIN 2010

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Soyons sérieux à propos de l’éducation des consommateurs en matière de sécurité des aliments, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=9033



JEUDI 17 JUIN 2010

PARLEMENT EUROPEEN 19/04/10 RAPPORT sur la proposition de règlement du Parlement européen et du Conseil concernant l'information des consommateurs sur les denrées alimentaires
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+REPORT+A7-2010-0109+0+DOC+XML+V0//FR



VENDREDI 09 JUILLET 2010

Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) sur le blog d'Albert Amgar, http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Les consommateurs sont-ils de bons inspecteurs ?, http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=10128

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