ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE |
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Seconde partie (à partir du 01/01/99) de l'Archive des messages d'information et des liens INTERNET concernant l'hygiène alimentaire distribués dans le forum HYGIENE |
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Seconde partie (à partir du 01/01/99) de l'Archive des messages d'information et des liens INTERNET concernant l'hygiène alimentaire distribués dans le forum HYGIENE (mise à jour le 26/11/00).
Date: Fri, 1 Jan 1999 15:47:47 +0000 From: PEIFFER Bruno
Bonjour,
Je souhaite mes bons vœux pour la nouvelle année à l'ensemble des participants de cette liste qui aura son premier anniversaire dans quelques jours. A cette occasion j'aimerais présenter un court bilan à propos de notre forum.
Cette liste ne serait pas ce qu'elle est sans la confiance que vous lui avez tous accordée en vous y inscrivant. Nous étions moins de 10 en janvier 98, nous sommes 90 aujourd'hui. La francophonie est donc assez bien représentée lorsque l'on compare ce chiffre au nombre de participants de la liste anglophone FOODSAFE qui comporte tout de même plus de 1000 membres. Je n'ai d'autre part compté que quelques désinscriptions survenant par ailleurs immédiatement après leur inscription.
408 messages ont été transmis en 1998 sur cette liste. En tant qu'animateur, je suis à l'origine de près de la moitié d'entre eux. Je remercie Albert AMGAR, l'un des premiers et fidèles participants de cette liste pour les près de 11 % des messages transmis cette année. Merci également aux autres 50 % des participants qui ont été à l'origine de 39 % des messages.
Cependant, le plus important dans une liste n'est pas le nombre de messages, mais le contenu de ceux-ci. Pour être membre sur d'autres listes, je trouve que de ce côté le résultat a été très bénéfique. Je tiens là notamment à remercier Albert AMGAR, Daniel CARDINAL, Jean CAZALS, Bertrand DRILLET, Alain GONTHIER, Patrick GOZZI, Jean-Noël JOFFIN, Giorgio PEROTTI, Thierry RAFFIN, D. SEVRIN, pour leur active apport d'information.
Je suis également très satisfait par l'ambiance qui règne dans cette liste, ce qui n'est pas toujours le cas sur d'autres listes ou dans les médias. La démonstration que nous donnons d'un débat permanent entre acteurs du public comme du privé et ne versant pas non plus dans la pensée unique, mérite également d'être signalée.
Enfin un grand merci à la société SORENGO qui offre gratuitement son service pour permettre la création de listes de discussion et gère tout ceci avec beaucoup de sérieux. Merci également aux sociétés TELESTORE et FortuneCity qui hébergent les pages de mon site.
J'espère que nous aurons l'occasion de poursuivre encore longuement cet échange fort productif et qui m'apporte personnellement une motivation supplémentaire dans mon travail quotidien.
Date: Sun, 16 May 1999 09:26:21 +0200 De: FELTER
Bonjour,
1 - Finalement j'ai réussi à remettre la main sur le sciences et avenir d'Aout 1997 qui présente un dossier très intéressant sur les pesticides.
Pas de doute, ou plutôt si d'énormes, concernant les molécules suivantes susceptibles de s'allier avec les hormones et de provoquer des cancers hormonodépendants et de perturber les fonctions endocriniennes et/ou de la reproduction :
2,4 D herbicide
alachlore herbicide
atrazine herbicide
bénomyl fongicide
carbaryl insecticide
cyanazine insecticide
mancozèbe fongicide
manèbe fongicide
métirame fongicide
zinèbe fongicide
trifluraline fongicide
Toutes les cultures sont concernées.
Ces molécules agissent à doses infinitésimales selon le propre même du fonctionnement hormonal ..
2 - j'ai lu avec intérêt l'article de Libération sur la réapparition de la tuberculose et de la gale à Roissy.
Peut-être demain le choléra?
Quel généraliste sait encore diagnostiquer le choléra à Paris.
Il va bientôt falloir tous ses vaccins pour aller à Paris !
Que font les gendarmes?
Ils pourchassent les fromages au lait cru ..
Bonne journée
Christian Felter
Ingénieur Agronome Consultant
- Nice -
JOFFIN jean noël lundi 7 juin 1999 07:10
--------------------------------------------------------------------------------
---------------------------
Guy
DURLIAT, Professeur à l'ENS de Cachan et Jean-Noël
JOFFIN, Professeur au Lycée Paul Eluard de Saint Denis vous
proposent un ouvrage intitulé " Informatique pour le
biotechnicien "
Il propose de donner au lecteur un
ensemble d'informations utiles, en particulier pour le débutant.
Une partie très importante est destinée à
faciliter l'utilisation de l'ordinateur au laboratoire. Il est le
fruit de notre expérience de terrain, avec d'ailleurs de
nombreuses contributions de Didier HIROU (La Rochelle).
Nous
avons été contraints de faire une édition à
compte d'auteurs pour de nombreuses raisons : l'éditeur qui
devait réaliser le travail est en faillite, nous voulions un
document au prix le plus bas possible, nous souhaitions une édition
rapide pour éviter une obsolence trop rapide.
Vous
pouvez télécharger un bon de commande au format word 6
ou au format HTML précisant les conditions de vente sur le
site http://www.cegetel.edu/projets/microbio ou par courrier (m'en
faire la demande par email).
Le tirage est en cours.
L'expédition sera réalisée le plus rapidement
possible et avant fin août 1999.
PLAN
:
Avant-propos
Table des matières
L'information
et son codage
Le matériel
Systèmes d'exploitation
Environnements graphiques
Traitement de texte ou texteur
Les
outils de calcul et de représentation graphique
Dessiner à
l'aide de l'ordinateur
Fichiers et bases de données
Acquisition
et traitement des données au laboratoire
Communiquer : les
réseaux
Glossaire
Index
tatiana izaguirre mardi 22 juin 1999 02:03
Bonjour les amis
je suis à
la recherche d'information sur l'hygiène dans la fabrication
des emballages alimentaires
merci à l'avance pour vous
réponses
Tatiana
Claude Giauffret dimanche 12 septembre 1999 17:00
Joël GERNEZ a écrit
"je
me méfie de science et vie dont les avis sont souvent très
tranchés et parfois teintés de scientisme,
rien que le titre sent la poudre
dans un domaine où se côtoient des honnêtes gens, nombreux, et qq margoulins
je préfère de loin la recherche ou pour la science"
Je n'ai aucunement l'intention de faire la promotion du journal Science et Vie, mais il m'a paru que les signatures des articles publiés étaient au moins aussi "scientifiques" que celles de la plupart des articles de presse référencés dans la Liste, au demeurant souvent très intéressants.
D'autre part, il me semble que certains des thèmes abordés par ces Journalistes ou ces Professeurs, Directeurs de recherche, Médecins,... répondent à des questions débattues ici. Et dans un langage abordable par beaucoup.
A toutes fins utiles, voici le sommaire de cette publication.
Cordialement, Claude GIAUFFRET
Sommaire du N° Hors série de Science et vie de septembre 99
"Editorial
Les Sciences de la nutrition
L'univers de l'aliment PAR LE DR BERNARD WAYSFELD, Nutritionniste et psychiatre
Ce que la science peut nous dire PAR LE DR SERGE HERCBERG, Directeur de recherche INSERM, Institut scientifique et technique de la nutrition et de l'alimentation "Étude SU.VI.MAX ", CNAM Paris
Petit glossaire PAR LE DR PHILIPPE ABASTADO Cardiologue, Paris
Vers une diététique fondée sur la preuve PAR MICHEL KREMPF, Professeur de nutrition, Centre hospitalier régional et universitaire de Nantes
Nutrition: les gènes entrent en scène PAR LE DR PHILIPPE FROGUEL Directeur du département de génétique humaine de l'Institut de biologie (CNRS EP10), Institut Pasteur, Lille
Alimentation et santé
Les Français tels qu'ils mangent PAR LE DR SERGE HERCBERG
Quand l'organisme manque de calcium PAR LE PROFESSEUR PIERRE J. MEUNIER Chef de service, rhumatologie et pathologie osseuse (INSERMU403), Hôpital Edouard Herriot, Lyon
Avec l'âge, la maladie renforce les carences PAR SOPHIE COISNE
La saga du cholestérol PAR LE DR PHILIPPE ABASTADO
Le secret du vin rouge PAR SOPHIE COISNE
Fruits et légumes: toutes sortes de bons principes PAR SOPHIE COISNE
Des pièges à radicaux libres 78 PAR ANNE-MARIE ROUSSEL, Professeur de biochimie, Laboratoire de biologie du stress oxydant (LBSO), Université Joseph Fourier Grenoble 1
Comment s'installe l'obésité PAR LE DR JEAN-MICHEL OPPERT, Maître de conférences, service de médecine et nutrition, Hôtel-Dieu, Paris
Les stéréotypes alimentaires en 6 questions PAR JEAN-MARIE BOURRE, Directeur de recherche INSERM (U26), Neuro-pharmaco-nutrition, Hôpital Fernand Widal, Paris
Apprendre à manger PAR JEAN-MARIE BOURRE
Tendances
Design alimentaire: le défi sensoriel PAR LAURE SCHALCHLI
Terroir et technologie: un mariage de raison PAR PATRICIA CHAIROPOULOS
Nouveaux produits: des années de recherche PAR ANNE LEFÈVRE
La vache folle et après PAR CLAUDE FISCHILER, Directeur de recherche CNRS, Centre d'études transdisciplinaires- sociologie, anthropologie, histoire, EHESS, Paris
Aliments sous haute surveillance PAR PATRICIA CHAIROPOULOS
Qu'est-ce qu'un produit bio? PAR ÉRIC LABOUZE, Professeur agrégé de biochimie génie biologique "
Tixier lundi 13 septembre 1999 11:16
Suite à ces débats
autour de l'aspartam, et avant avec le manioc, j'en profite pour dire
ma satisfaction sur la liberté des échanges. Il faut
conserver cela, et OSER :
• Soumettre des informations
douteuses,
le groupe est là pour les valider ou les
critiquer voire les dénoncer. Cela participera en final à
une information fiable. Nous ne sommes pas infaillible ; en validant
nos informations au sein du forum, nous éviterons de colporter
nous-même des rumeurs, d'autant plus que par nos métiers,
notre parole peut avoir du poids, à l'extérieur.
•
Poser des questions bêtes,
Nous ne savons pas tout. Il y a
quelques temps, en Juin, je crois, David CARDINAL avait posé
une question et s'était fait vertement remettre en place,
accusé d'incompétence professionnelle(mais c'est un
fait exeptionnel).
Or la Qualité des réponses
qui lui ont été faites a montré qu'elle n'était
pas auusi bête que ça !
Attention à ne pas
s'auto-censurer.
Poursuivons cette liberté et cette
tolérance dans nos échanges.
Cordialement
PIERRE OGIER mercredi 15 septembre 1999 21:10
Bonjour à tous
Je lis
avec beaucoup d'intérêt les différents messages
de cette liste.
Si je ne réponds pas c'est que mes
compétences en la matière sont plus que limitées.
Mais
cette fois je pense trouver sur cette liste l'aide dont j'ai
besoin.
Pour me faire plaisir, j'ai lancé à
l'intérieur d'une galerie marchande quelques recettes de
cuisines, mais ce
sous-site à très vite pris de
l'ampleur et sans profit pour la galerie marchande, je l'ai donc
expulsé mais il a
continué à prospérer
et au fil des demandes j'ai ajouté des rubriques.
Et je
voudrais en ajouter une sur l'hygienne domestique. Pas du très
complqiué ni du très savant mes lectrices et
lecteurs
téant Madame et Monsieur tout le monde de la francophonie la
plus large.
Alors pour animer cette rubrique je cherche un bénévol
(ce site ne rapporte rien) qui pourrait un fois par semaine
parler
d'un problème d'hygienne domestique et éventuellement
répondre aux questions qui seront posée. Pour que le
(ou les volontaires) puissent savoir ce qu'est ce site voici son
adresse :
et mon numéro de téléphone pour
ceux qui voudront m'appeler. : 33 1 34 87 34 34
Merci d'avance
bonne soirée
Pierre
Florence Baron jeudi 16 septembre 1999 11:15
Je suis interessee par votre
demande "cherche un benevol pour parler d'hygiene domestique sur
un site de recettes de cuisine". Nouvelle sur le site hygiene du
club voila, je suis enseignant chercheur en microbiologie alimentaire
et hygiene alimentaire dans une ecole formant des ingenieurs
agronomes (et agro-alimentaire). Je considere qu'un de mes rôle
est de sensibiliser le public (Mr et Mme tout le monde) a l'hygiene
domestique : c'est pouquoi ce benevolat m'interesse. J'aimerais
prendre contact avec vous par mail pour ne pas encombrer la liste de
discussion (pouvez vous m'indiquer votre mail personnel : je n'ai pas
reussie a le trouver)
A bientôt
Florence Baron
Albert Amgar mercredi 22 septembre 1999 10:59
Je vous informe que le
Compte-Rendu du Colloque de l'IAMFES (International Association for
Milk, Food and Environmental Sanitarians), 1er - 4 août 1999,
Bearborn - USA (fortmat pdf) est disponible sur notre site dans la
page nouveautés.
Bonne journée
Cordialement
Albert
AMGAR
ASEPT - BP 2047 - 53020 Laval Cedex 9 - France
Tél.
33 (0)2 43 49 22 22 Fax 33 (0)2 43 53 36 53
http://www.asept.fr
Albert Amgar vendredi 24 septembre 1999 15:51
Bonjour,
Le Compte-rendu de
la Conférence, "FOOD HYGIENE EUROPE '99" et 9e
Symposium EHEDG : An integral approach to practical food hygiene,
Amsterdam, 14-16 juin 1999, est disponible sur notre site rubrique
Quoi de neuf ?
O. Cerf vendredi 24 septembre 1999 16:27
Le livre des conférences
présentées à FoodMicro'99 coûte 50,-
florins,
l'envoi par poste coûte en plus 36,- florins, soit
au total 86,- florins.
Les commandes peuvent être transmises
à :
Notermans@voeding.tno.nl
Je viens de traduire les
principaux extraits d'un article paru dans le New York Times que je
transmet dans son intégralité en seconde partie de
message. Cet article traite d'une enquête effectuée
auprès de quelques traiteurs Newyorkais au sujet de l'hygiène
alimentaire des produits qu'ils vendent en salad'bar.
L'article
en question :
Un enfant débusque un morceau de melon du
salad'bar avec ses petits doigts potelés. Un homme éternue,
prend alors les pinces qu'il repose sur un lit de salade de pomme de
terre. Une femme met son doigt le long du bord du saladier de thon et
le met dans sa bouche. Dans le monde du libre-service de la
nourriture, il y a bien plus de risques de souillures sur la
nourriture qu'ailleurs. Le marché local a évolué
en une décennie vers une rayonnante distribution de type
buffets de préparations froides et chaudes.
Mais les
risques d'obtenir une nourriture impropre à la consommation
peuvent être les personnes plus grands que l'on croit. Une
étude de laboratoire effectuée sur sept établissements
sélectionnés à Manhattan par la Dining section a
permis de relever bien plus de problèmes que ce que laisse
entendre l'Etat de New York. La qualité d'une partie de la
nourriture
examinée était très basse en
raison de l'âge, mal traitée ou contaminée.
L'étude des documents d'inspection officiels a montré
que 4 des 7 établissements L'histoire indique également
qu'un examen des enregistrements d'inspection d'état après
le test a prouvé que quatre des sept établissements
n'ont pas été visités en 1998 et en 1999.
Il
n'y a aucun règlement qui indique combien de temps la
nourriture peut rester sur le salad'bar ou dans une vitrine de
traiteur, et aucun qui empêche la nourriture d'être
réutilisée d'un jour à l'autre. Il n'y a aucune
police de nourriture empêchant les personnes de mettre leurs
doigts dans les plats. Et il n'y a pas assez d'inspecteurs pour
surveiller les
établissements pertinemment. L'état
surveille la sûreté de nourriture dans 28.000
supermarchés et traiteurs en employant seulement 75
inspecteurs pour effectuer ce travail. Au début des années
90, ils étaient 63. L'analyse de laboratoire faite pour la
Diner section a trouvé des niveaux élevés des
bactéries, de levures ou de moisissures dans la plupart des
échantillons, indiquant que la nourriture avait été
maintenue à des températures inadéquates et trop
longtemps, et qu'une grande partie a été corrompue ou
sur le bord de la corruption.
Dr. Michael Doyle, directeur du
Center for Food Safety and Quality Enhancement at the University of
Georgia, a été cité comme disant, " un des
soucis majeurs concerne la durée d'exposition de la nourriture
sur le salad'bar. Beaucoup de professionnels continuent à les
remplir sans laver le haut des récipients. Parfois ils sortent
la nourriture du salad'bar, complètent avec un produit plus
frais et réfrigèrent le tout durant la nuit. Cette
pratique est particulièrement effrayante. Et qui sait où
les mains ont été avant de toucher la nourriture? Je ne
mange pas dans ces établissements du fait de tous ces
problèmes." L'enquête de la Diner section n'est
cependant pas assez grande pour être représentative,
mais elle fournit un
instantané des conditions les endroits
qui sont parmi les plus négligents et les plus chers. Six
étaient des self services, et un seul affichait à
l'ouverture des consignes à suivre pour la clientèle
lors de la manipulation des produits.
Edward Groth, un
biologiste et spécialiste en hygiène alimentaire dans
le Consumers Union, a été cité comme disant que
des conclusions ne pourraient pas être tirées au sujet
de la sûreté de la nourriture parce que l'échantillon
d'établissements était beaucoup trop petit pour être
statistiquement fiable, ajoutant que, " le compte élevé
de bactéries est une issue de qualité, pas une issue de
sûreté. Les scientifiques l'appellent le "yuck
factor". Ce n'est pas mortel, mais il y a un grand "yuck".
Cela signifie que la nourriture a certainement passé sa
perfection, ainsi la question est, qu'avez vous pour votre
argent?"
Mais Steven Mitchell, un microbiologiste chez
Laboratories Inc. certifiés de Plainview, N.Y., a été
cité comme disant que les niveaux très élevés
de bactéries pourraient causer un danger gastro-intestinal,
ajoutant que, la " nourriture chargée par des bactéries
non nécessairement pathogènes, pourrait poser des
problèmes gastro-intestinaux, particulièrement
parmi
immunodéprimés. Plus le nombre de bactéries
est grand, plus l'occasion pour que les microbes pathogènes se
développent est grande, ". Néanmoins, des milliers
de personnes consommant chaque jour à ces buffets ne se
soucient
apparemment guère des risques et de la qualité
inférieure.
Il est très difficile de tracer la
source des maladies gastro-intestinales. La plupart des
toxi-infection alimentaires n'est jamais déclarée. Dr.
Michael Osterholm, un ancien épidémiologiste du service
de santé du Minnesota, a été cité car
disant que le " produit est le véhicule du numéro
1 pour la transmission de la maladie portée par les aliments
pendant la
dernière décennie, et beaucoup de cas ont
été associés aux salad'bars."
Il n'y
a aucun règlement dans l'Etat de New York fixant une limite de
flore bactérienne permise, mais uniquement des directives:
cinq millions d'unités par gramme dans la nourriture crue, et
un million pour la nourriture cuite. La directive pour la coliforme
est 10 pour la nourriture cuite. Peter Gregg, un porte-parole du
ministère de l'agriculture, responsable de l'inspection des
supermarchés et des traiteurs a été cité
comme disant que le niveau de bactéries présentes dans
l'aliment servira d'indicateur qui nous permettront de déclencher
une recherche plus poussée. En général, les
inspecteurs
essayent de visiter chaque endroit une fois par
an.
Barbara Kleiner, une associée travaillant dans un
service de consultants industriels de New York disait qu'elle nétait
pas surprise par les températures relevées, ajoutant
qu'être capable de respecter la chaîne du chaud et du
froid est très compliqué.
Texte
original :
SALAD BARS: HOW CLEAN ARE THEY?
August 25,
1999
The New York Times
MARIAN BURROS
Thisstory begins by
saying that a child snags a piece of melon from a salad bar with her
chubby little fingers. A man sneezes, then picks up the tongs resting
on a bed of potato salad. A woman runs her finger along the edge of a
tuna salad bowl and puts it in her mouth. In the world of
help-yourself food, there are many more opportunities for food to be
contaminated than at a full service deliQand little enforcement of
the rules that do exist. What began about a decade ago as a tiny
section in a corner market, a place to buy ready-to-eat raw greens
and vegetables and a few salads like potato and macaroni, has become
a dazzling smorgasbord of hot and cold dishes.
But, the story
says, the chances of getting food that is not clean or fresh may be
greater than people think. A laboratory analysis of seven
establishments in Manhattan selected by the Dining section found far
more problems than New York State records would indicate: not one
would have passed a state inspection. At best, the quality of some of
the food tested was very low because of age, mishandling or
contamination. The story also says that a review of state inspection
records after the testing showed that four of the seven
establishments failed inspections in 1998 or 1999.
Thestory adds
that there are no regulations that specify how long food can stay on
a salad bar or in a deli display case, and none that prevent food
from being recycled from one day to the next. There are no food
police to prevent people from sticking their fingers into the dishes.
And there are not enough inspectors to monitor the establishments
effectively. The state oversees food safety in 28,000 supermarkets
and delisQbut it employs only 75 inspectors to do the work. In the
early 1990's, there were 63. The laboratory analysis done for the
Dining section found high levels of bacteria, yeasts or molds in most
samples, indicating that the food had been kept at improper
temperatures and for too long, and that much of it was either spoiled
or on the verge of spoiling.
Dr. Michael Doyle, the director of
the Center for Food Safety and Quality Enhancement at the University
of Georgia, was quoted as saying, "One of the major concerns is
the length of time food is on a salad bar. Many keep refilling it
without washing up the containers. Sometimes they take the food off
the salad bar, replenish it and refrigerate it overnight, and
that
gets them in more trouble than anything because of temperature abuse,
which is one of the leading causes of food-borne disease. That's what
frightens me the most. And who knows where hands have been prior to
touching food? I don't eat at them because of all those things."
The story notes that the Dining section's survey is not large enough
to be
representative, but it does provide a snapshot of conditions
at places that are among the least and the most expensive. Six were
help-yourself food bars, and one had food displayed in the open where
customers could touch it, although it was packaged by servers. The
cleanliness of the food, it turned out, had nothing to do with the
price. Edward Groth, a biologist and food safety specialist at
Consumers Union, was cited as saying that conclusions could not be
drawn about the safety of the food because the sampling was much too
small to be statistically reliable, adding that, "High bacteria
count is a quality issue, not a safety issue. Scientists call it the
yuck factor. It's not lethal, but a big yuck. It means the food has
certainly passed its prime, so the question is, What are you getting
for your money?" But Steven Mitchell, a microbiologist at
Certified Laboratories Inc. Of Plainview, N.Y., was cited as saying
that very high bacteria levels could
cause gastrointestinal
distress, adding that, "Food loaded with bacteria, not
necessarily pathogenic bacteria, could cause gastrointestinal
problems, especially among the immune-compromised. The greater the
bacteria, the greater the opportunity for pathogens to grow," if
disease-causing bacteria like salmonella or listeria are there
already. Nevertheless, the story says, thousands of people get meals
from these buffets every day, apparently heedless of the potential
hazards and the poor quality.
It is very difficult to trace the
source of gastrointestinal illnesses. Most food-borne illness is
never reported, and neither New York State nor the Federal Government
keeps records on help-yourself food. Dr. Michael Osterholm, a former
epidemiologist for the Minnesota Health Department, was cited as
saying that "produce is the No. 1 vehicle for transmission of
food-borne disease over the last decade, and much of that has been
associated with salad bars."
For the Dining section's survey,
two food samples were taken from each of the seven stores: Dean &
DeLuca in SoHo; Eli's, at Third Avenue and 80th
Street; the Food Emporium at Third Avenue and 63d Street; Fresh N'
Plus, on Third Avenue between 78th and 79th Streets; Morton Williams
Associated Stores, at Broadway and 57th Street; Exotic Flower Deli,
at 202 Avenue of the Americas (near Prince Street), and Whole Foods,
at 117 Prince Street
(at Macdougal Street).
The food was tested
for the total amount of bacteria (a high level indicates poor
refrigeration or poor manufacturing practices); for the presence of
coliform (a high level indicates possible contamination from other
sources, poor food handling or improper storage); for yeasts and
molds, which are present in spoiled food; for E. coli, a type of
coliform
that indicates the presence of fecal matter; for
staphylococcus, a germ that causes an infection that can lead to
death, and for listeria, the bacteria that causes listeriosis.
There
are no regulations for total allowable bacteria in New York State,
only guidelines: five million colony-forming units per gram for raw
food, and one million for cooked food. The guideline for coliform is
10 parts per million for cooked food.
Peter Gregg, a spokesman for
the State Department of Agriculture and Markets, which is responsible
for inspecting supermarkets and delis was quoted as saying that
bacteria levels as high as those are "a red flag to us. It will
trigger us to look further, check for pathogens and see why the
product is spoiling." As a rule of thumb, the inspectors try to
visit
each place once a year, giving the food a visual inspection
and taking the temperature of various dishes. The story says that in
each store in the Dining section's survey, one of the two items
sampled had levels of bacteria or coliform that exceeded the
guidelines. Some food also had high levels of yeasts and molds. One
tested positive for staphylococcus (which did not mean that someone
would contract the disease but that the food had been handled by
someone with a
staph infection). None of the food tested positive
for listeria, and there were no detectable levels of E. coli.
The
food was bought and tested by Associated Analytical Laboratories Inc.
Of Manhattan.
Temperatures were taken immediately after purchase.
Then the food was placed in chilled containers and kept chilled and
taken to the laboratory. The state inspection process is the same,
except that the state takes the temperature of the food while it is
still on display.
In some instances the temperature of the hot
foods was as much as 40 degrees below the required temperature, 140
degrees Fahrenheit, while the cold food was as much as 35 degrees
above the required maximum, 45. Bacteria thrive
at around 100
degrees. In 2003, the maximum for cold food will drop to 41 degrees
in New York City, and the state is considering a similar change. Mr.
Gregg was cited as saying that the agency was surprised by the
out-of-compliance temperatures, adding, "If we found these
temperature violations they would be subject to a fine." Barbara
Kleiner, a partner in the Food Sanitation Consultant Service of New
York, an industry consulting firm, was cited as saying she was not
surprised at the temperatures, adding, "Being able to retain
proper temperatures for hot and cold food is very hard."
The
story also says that the results of the Dining section's spot check
was far worse than the state's annual findings, which suggests either
that by sheer chance the section's choices were not as clean or fresh
as the food normally displayed in a vast majority of stores, or that
75 inspectors cannot do a thorough job of inspecting 28,000 places.
Less than 9 percent of those 28,000 failed two consecutive
inspections, said Mr. Gregg, who added that the department tries to
inspect each place once a year.
The story goes on to describe
various inspection failures among the restaurants, and concludes by
quoting Dr. Osterholm as saying, "Do I think salad bars provide
unique risks in restaurants or grocery stores settings? Absolutely."
Bruno PEIFFER mercredi 29 septembre 1999 22:29
Vous avez peut-être pu lire
il y a quelques mois un article de presse qui indiquait que la
"buvette du Palais" qui était un établissement
de restauration commerciale implanté depuis 1956 dans les
locaux même du palais de justice de Paris avait fait l'objet
d'une fermeture administrative et d'un procès-verbal par les
services vétérinaires de Paris pour cause d'hygiène.
Il s'agissait d'une concession qui s'expirait le 11 novembre 1999 et
le premier contrôle des services vétérinaires
n'est intervenu qu'en 1998.
J'ai appris aujourd'hui par
l'intermédiaire d'un article du Figaro que le patron de cet
établissement s'est suicidé. L'article relate une
situation dans laquelle cet établissement était comme
bien d'autres dans une situation dramatique dans laquelle il était
disposé à financer les travaux nécessaires, mais
n'avait pas de réponse des propriétaires des locaux
pour renouveler la concession.
Que cet épisode tragique
serve au moins d'exemple à d'autres personnes qui seraient
susceptibles d'accepter un contrat de location dans des locaux non
conformes à la réglementation. Je dirai même que
ceux qui poursuivent une activité dans de telles conditions
doivent réfléchir à une issue à moyen
terme (déménagement avant qu'il ne soit trop tard).
C'est une raison pour laquelle il faut inciter tout établissement
à se déclarer le plus vite possible à la
Direction des Services Vétérinaires et pourquoi pas
demander leur avis avant tout engagement.
Nous voyons là
jusqu'où peut mener une telle situation : la mort d'une homme,
père de deux enfants.
Bruno PEIFFER vendredi 1 octobre 1999 12:20
Trouvé dans les Dernières
Nouvelles d'Alsace :
Qui sont les vétérinaires
?
Les Français détiennent le record mondial en
matière d'animaux de compagnie mais ils connaissent mal les
vétérinaires.
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Savez-vous
qui est Claude Bourgelat ? Son goût pour les chevaux et ses
relations le propulsent premier écuyer du royaume. Après
s'être initié à l'anatomie et à la
chirurgie, il collabore à " l'Encyclopédie "
avant d'ouvrir en 1762 une école de médecine
vétérinaire à Lyon. En 1766, il ouvre une
seconde école au château d'Alfort, près de Paris.
Il faudra toutefois attendre plus de 170 ans pour que la profession
bénéficie d'une protection par rapport aux
non-diplômés. Longtemps l'activité jugée
subalterne n'eut pas de reconnaissance sociale. En 1890, le
baccalauréat (ou un diplôme
agricole) fut rendu
obligatoire et en 1923 fut institué le doctorat. On est loin
aujourd'hui, avec la féroce sélection des candidats, du
temps de l'artiste-vétérinaire " du 18e siècle
ou du rebouteux soigneur de bêtes...
Une révolution
Entre-temps,
les vétérinaires ont accompagné une révolution
culturelle marquée par l'essor des animaux de compagnie ; une
évolution que les firmes agro-alimentaires voient avec
intérêt. Mais les zones d'ombre existent :
positionnement par rapport aux gros clients (mutuelles d'élevage,
coopératives...), discrimination à l'égard des
femmes-vétérinaires, rivalités avec d'autres
métiers proches de l'élevage, interrogations à
propos des relations avec les pharmaciens, chômage (4 % en
1993). La profession évolue au moment où, l'affaire des
vaches folles ou des poulets à la dioxine le prouve, la
société veut de plus en plus de garanties et
d'éthique.M. B-G. * " Les maîtres des bêtes
", par Ronald Hubscher, professeur d'université, éditions
Odile Jacob, 441 pages, 180
F.
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©
Dernières Nouvelles D'Alsace, Vendredi 1 Octobre 1999.
GILLES TIXIER jeudi 4 novembre 1999 11:51
Je vous transmet cette infos
de bactériologie, provenant du Forum
MERCURE
(AFNOR)
http://groups.yahoo.com/group/hygiene/message/1311
Date: Sun, 27 Feb 2000 13:48:42 +0100 De: Jean-Pierre PEQUIGNOT
Un petit mail pour vous faire part de l'évolution du site des étudiants du Certificat d'Etudes Approfondies Vétérinaires en Gestion de la Sécurité et de la Qualité des Aliments :
http://perso.club-internet.fr/jpptlse
Entre autres :
- Détail du programme d'enseignement
- Page de liens
Merci de votre visite ! :)
samedi 1 avril 2000 11:34
* Réduire les facteurs de risque de lésions dues aux mouvements répétitifs (LMR) dans la boucherie d'un supermarché : Étude de cas
http://www.cchst.ca/reponsessst/occup_workplace/supermar.html
dimanche 2 juillet 2000 12:26
Biological control : a guide
to natural enemies in North America / ed. Cathy Weeden, Tony Shelton,
Mike Hoffmann. - Cornell University,
2000
http://www.nysaes.cornell.edu/ent/biocontrol/
Albert Amgar jeudi 13 juillet 2000 14:07
Bonjour,
je vous informe de la parution
de nouveaux documents :
- Les Bonnes Pratiques Hygiéniques
de production et de vérification de l'air comprimé
-
Différents documents scientifiques qui seront présentés
prochainement dans des congrès internationaux :
*
Attachment of a Pseudomonas fluorescens Strain Isolated from an Eggs
Processing Plant: Influence of the Processing Flow Velocity.
*
Characterization of Listeria monocytogenes from cold somked fish
plant by pulsed-field gel elctrophoresis (PFGE).
* Resistance of
Listeria monocytogenes to bacteriocins of lactic acid bacteria.
*
Impact of heating stress on the behaviour of two Listeria
monocytogenes strains in a broth which mimics the Camembert cheese
composition.
* Efficiency of
Sanitation Procedures Against Listeria monocytogenes : Application to
Cold-Smoked Fish Industry in France
jeudi 13 juillet 2000 21:03
* Les oeuvres de pasteurs sont disponibles en
ligne
:
http://www.pasteur.fr/infosci/biblio/livres/nouveaux.html
Notamment
celle-ci : Fermentations et générations dites
spontanées / Louis Pasteur ; réunies par Pasteur
Vallery-Radot. - Paris : Masson, 1922. - VIII-664 p. - (Oeuvres de
Pasteur ; 2) [pdf] AD42
Arnaud Lebourg mardi 31 octobre 2000 17:54
Le Comité de Rédaction de la
Lettre BRITTA Nutrition est heureux de vous annoncer que la lettre
mensuelle est désormais disponible sous format
électronique.
La Lettre BRITTA Nutrition est un mensuel
d'information nutritionnelle et sécurité alimentaire
financé par le Conseil Régional de Bretagne.
Pour
la recevoir, merci de nous faire parvenir vos coordonnées
(Société, Nom, Prénom, Fonction, e-mail) à
contact@nutrinov.com
Pour
les personnes recevant déjà BRITTA Nutrition par fax et
désirant recevoir la lettre sous format électronique
merci de nous renvoyer vos coordonnées à
contact@nutrinov.com
Bonne
lecture
Le Comité de Rédaction
dimanche 5 novembre 2000 01:00
[2] InfoScience - Toute l'Actualité
````Vider
les ballasts... et provoquer une épidémie ; dans les
ballasts des navires commerciaux, bactéries, virus et autres
micro-organismes
(...)
http://www.infoscience.fr/articles/articles_aff.php3?Ref=517
p.jacquemes vendredi 24 novembre 2000 15:30
Bonjour à tous,
Je suis
actuellement en licence professionnelle Microbiologie dans les
IAA.
Dans le cadre de mes études, je recherche tout
document ou information concernant les 3 points suivants :
- Transformation des produits alimentaires par les enzymes
- Maitrise et amélioration des propriétés
technofonctionnelles des aliments
- Applications dans les
filières agro-alimentaires (filière laitière,
produits carnés, produits de la mer, industries
végétales)
Mes recherches n'étant guère
fructueuses, je me permets de faire appel à vous.
En
vous remerciant par avance,
Pascale
jose.braun samedi 25 novembre 2000 12:00
Bonjour,
J'ai trouvé un rapport sur
les enzymes en agro-alimentaire à l'adresse suivante :
http://www.multimania.com/jcbouchez/Rapport.htm
Je
ne l'ai que feuilleté, mais il me semble qu'il répond
partiellement à votre question.
José Braun
vendredi 18 mai 2001 22:05
Les archives du magazine La
recherche.
http://www.larecherche.fr/arch
On
peut notamment y trouver le numéro spécial ALIMENTATION
du mois de février 2001 en texte intégral
:
http://www.larecherche.fr/arch/01/02
dimanche 29 juillet 2001 09:57
USDA 25-07
U.S. AGRICULTURAL TRADE SURPLUS CONTINUES TO CLIMB
WASHINGTON,
July 25, 2001- U.S. exports of high-value products, $24 billion to
date and $1.8 billion more than last year, are driving up the U.S.
farm trade surplus, according to the Agriculture Department's July
U.S. Agricultural Trade Update.
The
full report is
available
http://www.ers.usda.gov/publications/so/view.asp?f=trade/fau-bb/
Serge Grass dimanche 19 août 2001 20:12
L'abattage des platanes, une
phobie qui date !!:
Serge
GRASS,
Lettre
adressée à Monsieur Jacques Chaban-Delmas,
premier Ministre, par
Monsieur
le Président de la République, Georges
Pompidou.
http://groups.yahoo.com/group/hygiene/message/6476
Anne
Lorin mardi
28 août 2001 10:34
Je suis à la
recherche de renseignement sur la bactérie Vibrio
alginolyticus. Pourriez-vous m'indiquer des sites ou documents à
consulter pour en savoir un peu plus sur cette bactérie ?
Je
vous remercie par avance de l'aide que vous pourrez
m'apporter.
Cordialement
Anne
LORIN
responsable
Qualité
quentin_robert mercredi 29 août 2001 11:53
Au sein de l'Institut Pasteur
se trouve le Centre National de Référence du Choléra
et des Vibrions. Je vous conseille donc de ré-adresser un
mail à
vibrions@pasteur.fr
Cordialement
Quentin
ROBERT
Stagiaire
Assurance Qualité
Institut
Pasteur
Unité
du Choléra et des Vibrions
TAREK KAOUACHE vendredi 31 août 2001 21:45
Faites une
recherche sur copernic.com vous trouverez 30 sites dont
:
coproweb.citeweb.net
www.bacterio.cict.fr
www.pasteur.fr
person.worldonline.fr
freepages.pavillon.net
etc.
Bonne
navigation.
dimanche 16 septembre 2001 20:31
SCIENCE NEWS 08-09 Immunity's Eyes - Biologists reveal the proteins that first see dangerous microbes
http://www.sciencenews.org/20010908/bob9.asp
nclapham mardi 25 septembre 2001 17:26
Chef de rubrique Qualité
chez Process, je recherche des témoignages de responsables
qualité sur l'utilisation qu'ils font d'Internet : quelles
sont les informations que vous y cherchez, pourquoi adhérer à
un forum hygiène, quels sont les sites que vous recommanderiez
à tout responsable qualité...
Egalement,
si vous avez vous-même créé un site internet
dédié à la qualité (certification,
sécurité alimentaire, fournitures la boratoire,
informations scientifiques et pédagogiques, etc.), merci de
m'en envoyer une présentation.
Enfin,
quelle que soit votre fonction, n'hésitez pas à
m'envoyer des adresses de sites orientés qualité, qui
vous ont vraiment plu.
Voici
mes coordonnées :
Nadège
Clapham, Magazine Process
CS
77711
35577
Cesson-Sévigné Cedex
Tel
: 02-99-32-21-21
E-mail
: nclapham@editionsduboisbaudry.fr
Je
compte sur vous !
samedi 8 décembre 2001 13:00
UNIVERSITE
DE CORNELL 05-12 Novel database that tracks path of virulent bacteria
via the web is developed by consortium of Cornell
students
http://www.news.cornell.edu/releases/Dec01/PathogenTracker.bpf.html
Hélène LAURENT Lundi 10 décembre 2001 15:10
La liste des salons, colloques et séminaires
ayant lieu sur les thèmes de la sécurité
alimentaire, de l'hygiène et de l'HACCP sont référencés,
et mis à jour
régulièrement sur le site
www.microbusplus.com, à
la page:
http://www.chez.com/microbusplus/seminaires.htm
ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE (fin de document) |
FIN DU DOCUMENT |
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