ARCHIVAGE THEMATIQUE DES MESSAGES DU FORUM HYGIENE

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Le saumon biologique

L’eau dans le Maine

Le vert malachite

Le saumon transgénique

Listeria dans le Saumon

Le saumon

 

 

 




LIENS FONDAMENTAUX

  Les principales références concernant le saumon sont accessibles via PEARLTREES.



ARCHIVES CHRONOLOGIQUES

ARCHIVES 2001–2006 – A PARTIR DE 2007 (voir ci-dessous)




Fanny LS Sendt: 18. mars 2009 10:52


A quoi peuvent être dues des tâches de mélanine sur du saumon ?

Ces tâches sont particulièrement visibles après fumage.

Merci pour votre aide !



Per Arve Aas Mercredi 18. Mars 2009 20:00


les taches sont dues a une irritation causee principalement par la piqure ou le vaccin lors de la vaccination. Le changement d un vaccin a base eau a

un vaccin a base huile pourrait etre la cause de l emplification de la presence de taches de melanine sur le saumon ces dernieres annees.

salutations

pa




jph.moreau Vendredi 20. Mars 2009 21:07


Effectivement on constate assez souvent des taches marron ou brunâtres sur les bords d'une ou deux tranches de premier rang, surtout pour du saumon "premier prix". Ces taches augmentent au réfrigérateur si le paquet entamé n'est pas consommé le jour même. C'est certainement signe d'un processus sensible à l'oxydation. Personnellement, j'enlève la partie brunie de la tranche destinée aux convives craintifs.



Bertrand CARLIER Lundi 4. Janvier 2010 10:34



"En Norvège il a été rapporté que la transmission du pou et l'infestation qui en résulte cause une mortalité autour de 48 a 86 % des saumons sauvages alevins ou saumoneaux [10]."


http://www.medvet.umontreal.ca/etudes/enseignementligne/ptm4411/travaux_etudiants/2007/ecologie_pou_mer.pdf


How sea lice from salmon farms may cause wild salmonid declines in Europe and North America and be a threat to fishes elsewhere

http://www.farmedanddangerous.org/page/sealicereports


bravo pour la qualité des liens fournis qui confirme mon impression, mais qui n'apporte pas de complément d'information sur le point que j'avais évoqué:


la contamination n'existe que parce qu'il y a contact possible entre l'animal d'élevage et la forme infectante du parasite. Cependant cette contamination ne peut se faire qu'en surface des cages. Si les animaux d'élevage étaient maintenus sous la surface pendant la phase d'alimentation, cela génerait certes le personnel en limitant les possibilités d'observation des sujets, mais limiterait aussi de façon notable le problème. D'ou la proposition de nourrir les animaux par le bas des cages, ce qui est une simple adaptation zootechnique...


vous savez cette science critiquée par bien trop.


Ce serait bien, de mon point de vue, d'aider, ceux qui proposent des choses raisonnables et durables...


ce n'est pas le moment de présenter ses voeux ?


amicalement

Bertrand


ps:


j'ai évoqué ce dossier car lorsque l'on lit bien des choses, il est relativement rare de trouver des sujets qui méritent d'être mis en lumière.




Pascal Rudeaux Lundi 4. Janvier 2010 12:45


Il y a de cela 3 ans le chili a connu une crise due a ce même sea lice.


Le poux de mer est une espèce de parasite commun à beaucoup de poissons.

Tout comme le pou du chat ou de l’humain , il se transmet par contact.


La problématique du pou est qu’en cages, par la densité de la population, ces contacts sont fréquents.


Comme il a un rythme de reproduction élevé, on fini par rencontrer des cages avec plus de 100 unités de sea lice par poisson.


Le sea lice a pour effet une gène au niveau du saumon qui se traduit par un stress. Le poisson saute et se frotte contre les éléments solides pour s’en débarrasser.


Comme le poux commun, le sea lice a se détacher laisse place à une petite plaie ouverte, le poisson stressé produit moins de muqueuse qui protège la peau des attaques microbiennes. Conséquence les microorganismes attaquent, le poisson meurt.


Cela fait des décennies que pour lutter contre ce poux, il est employé un pesticide (introduit dans l’alimentation du saumon) qui s’appelle « benzoate de emamectine ».


Le problème étant la présence résiduelle de ce composé dans la chair, il a fallut reculer le dernier traitement possible avant la pêche, et comme le sea lice devient résistant a ce pesticide, il a fallut augmenter les doses d’injection.


Je vous laisse deviner la conclusion :


Augmentation de la densité d’élevage.


Augmentation de la résistance du sea lice au pesticide


Recherche de trace de pesticide dans la chair du poisson


Dernier traitement avant pêche reculé.


Boummmmmmmmmmm


Son petit nom est aussi CALIGUS


Quand au fait d’alimenter par le dessous, IMPOSSIBLE, le saumon est un chasseur il capte ses proies par le dessus, a la vue. (Pêche a la mouche , messieurs les pêcheurs)


Cordialement


Pascal Rudeaux


Consultant commercial et industriel


Amérique du Sud



Bertrand CARLIER Lundi 4. Janvier 2010 13:05


merci,


de vous voir confirmer les faits. Maintenant avant d'affirmer que la proposition est impossible regardez ceci, d'une part:


"Clearly, reverse feeding doesn?t stop all interaction between sea lice larvae and salmon but by keeping most of the fish apart, infection rates

should be kept to a minimum. Reverse feeding may not be a total solution to sea lice but as part of an integrated approach, it could help keep infection to a minimum."


http://mailmanlist.net/pipermail/callandermcdowell/2010-January.txt


(je ne trouvais pas sympa de mettre en ligne certains prix, mais vous le demandez.)


d'autre part cette technique d'élevage ( en cage) est une technique avec de multiples conditionnements, alors un de plus ou de moins, ce ne me semble pas le vrai problème.



LUNDI 04 JANVIER 2010

Report on the 13th Annual Meeting of the National Reference Laboratories for
Fish Diseases Copenhagen, Denmark May 26-28, 2009
http://www.crl-fish.eu/upload/sites/crl-fish/reports/meetings/13%20am%202009.pdf
"The detection of salmon lice (Lepeophtheirus salmonis) resistant to
ememectin benzoate is a major concern."


Voici le(s) dernier(s) post(s) paru(s) dans le blog d'Albert Amgar,
http://amgar.blog.processalimentaire.com/
- Le saumon et le pou 
http://amgar.blog.processalimentaire.com/?p=5035



Pascal Rudeaux Lundi 4. Janvier 2010 18:04


Merci a google translate :


De votre lien :

http://mailmanlist.net/pipermail/callandermcdowell/2010-January.txt


Il est bien connu que les stades infectieux de poux de mer sont attirés par les

la lumière et peut être trouvé à se réunir dans les couches superficielles de la mer. Cet

est sans aucun doute d'augmenter les chances de trouver un poisson hôte. À la même

, le temps de saumon d'élevage sont également encouragés à se baigner dans la même surface des couches

en raison de la façon dont les aliments sont administrés, en assurant que les poissons non seulement

recevoir leur nourriture, mais les poux de mer les larves de trouver un hôte prêt. It? S presque

s'apparente à un restaurant, service en argent pour les poissons et les poux du poisson.

 

Un simple changement dans l'alimentation pratique pourrait imposer un changement dans le comportement des poissons

de sorte que l'interaction entre les poissons et les larves du pou du poisson est coupé. Si les poissons

pourraient être encouragées à nourrir plus bas dans les cages, loin de la surface

couches, puis le risque d'infestation devrait être très réduite. Toutefois, le pompage

répercutés au plus bas dans la cage mai saurait être la solution que le temps de l'alimentation

est disponible pour les poissons seront réduites ainsi que l'augmentation du gaspillage

que plus d'aliments non consommés et seront ensuite été perdue car elle sort du

le fond de la cage.

 

La solution serait d'envisager d'inverser la technologie actuelle. Au lieu de

alimentation d'un flux d'amortissement du haut de la cage, un flux dynamique pourrait être nourris

du fond de la cage. Les poissons seraient attirés vers le bas pour la

Source du flux loin des couches de surface. Feed aurait alors lieu par l'intermédiaire du

colonne d'eau devient accessible au poisson moins dominant et enfin flotter

à la surface où il serait devenu un indicateur visuel pour cesser de se nourrir.

………….

 

 

De toute évidence, doesn alimentation inverse? T stop toutes les interactions entre les poux de mer

larves et de saumon, mais en gardant la plupart des poissons à part, les taux d'infection

doivent être réduits au minimum. Inverser l'alimentation mai ne pas être une solution totale à

poux de mer, mais dans le cadre d'une approche intégrée, il peut favoriser le maintien d'infection

au mínimum

 

 

Excellent……  Avec le conditionnel je vous invente tout ce que vous souhaitez…..


Bertrand CARLIER Enviado el: lunes, 04 de enero de 2010 9:05


merci,


de vous voir confirmer les faits. Maintenant avant d'affirmer que la proposition est impossible regardez ceci, d'une part:


"Clearly, reverse feeding doesn?t stop all interaction between sea lice larvae and salmon but by keeping most of the fish apart, infection rates

should be kept to a minimum. Reverse feeding may not be a total solution to sea lice but as part of an integrated approach, it could help keep infection to a minimum."


http://mailmanlist.net/pipermail/callandermcdowell/2010-January.txt


(je ne trouvais pas sympa de mettre en ligne certains prix, mais vous le demandez.)


d'autre part cette technique d'élevage ( en cage) est une technique avec de multiples conditionnements, alors un de plus ou de moins, ce ne me semble pas le vrai problème.



Pascal Rudeaux Mercredi 6. Janvier 2010 0:04


Le stock de saumon sauvage ou truite est en voie de disparition pour d’autres raisons.


Surpêche


Contamination des cours d’eau


Barrages


Entre autres


Les pêcheurs professionnels ou l’industrie de la pêche doit –elle demander réparation ?. Si c’est l’industrie, soyons clair qu’elle en est la grande

cause.


L’aquaculture est jeune. Moins de 25 ans. Elle sort tout juste de l’adolescence, ils jouent encore a l’apprenti sorcier. Un jour tu gagne un

jour tu perds.


Ce sont des grands groupes cotés en bourse qui font tourner la machine dans le monde de l’aquaculture du saumon et truite. Autant vous dire que l’environnement ……. C’est quelque chose de très abstrait pour eux amoins que cela fasse remonter le prix de l’action



Bertrand CARLIER Mercredi 6. Janvier 2010 8:37


merci,


reprenez les liens, il y est indiqué le lien entre parasitisme et mortalité. Habituellement l'élevage permet de soulager le sauvage, d'ou ma surprise...


J'ai évoqué cette situation car, de plus, nous sommes en Europe face à des parasites pouvant conjointement affectés les populations sauvages et d'élevage de saumon et de morue, et il s'agit justement des deux espèces importantes


Il est exact que certains ont pris la mesure du problème et que des prélévements sont réalisés:


"Monitoring of sea lice on salmon farms was initiated in 1991 and involves inspection and sampling at all fish farms 14 times per annum with treatment required where sea lice levels are above target levels."


http://www.thefishsite.com/fishnews/7967/an-irish-strategy-against-sea-lice


d'ou ma demande d'accés aux résultats donc carte de danger et mes questions sur la mise en oeuvre effective du zonage



Pascal Rudeaux Mercredi 6. Janvier 2010 14:17


D’accord,


Mais voyez, le problème est que l’on ne peut pas faire confiance a ce qui se communique sur la toile (ces liens), que ce soit a un niveau

gouvernemental ou scientifique.


Mettre un lien et s’en satisfaire est dangereux.


La puce du poisson (sea louze) est d’origine sauvage. Le sauvage contamine l’élevage, l’élevage permet sa multiplication et sa dissémination a plus grande échelle (reste à être capable de mesurer cette échelle : comparez la superficie qu’occupe les élevages et la superficie des océans et tirez en une probabilité : P(saumon ou morue sauvage en contact avec un d’élevage)).


Parasitisme et mortalité : son lien est du a une contamination microbienne.

Le parasite en soit ne tue pas.


Prélèvements réalisés : on est sauvé , grâce a des chiffres c’est cela ?…………

Ils sont en grande partie faux. L’industriel ne donne pas les résultats réels et les gvt n’ont pas la capacité et la volonté de control. Maintenant

sur le stock de sauvage, les infos viennent de lobbyistes de l’environnement, peu fiables non plus.


La crise du sea lice au Chili, je l’ai vécu il y a 3 ans de l’intérieur.

Qu’a-t-il été fait ? rien et pourtant se sont organisés des réunions de scientifiques Norvegiens, Chiliens, ecossais etc…., avec la pression aveugle et volontairement débile des organismes gouvernemental et organismes ambientales.


N’oublions pas que l’économie à le pouvoir sur tout, la preuve si il en est besoin avec la dernière crise.



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